Invitée de l’émission de Laurent Ruquier, Amélie Mauresmo ne se doutait pas qu’elle allait devoir parler… de sa poitrine ! Gênée, elle a tout de même joué le jeu.
Laurent Ruquier
Avec le talk-show On est en direct, Laurent Ruquier continue d’investir les samedis soirs de France 2, au plus près de l’actualité. Le 3 octobre, il recevait Amélie Mauresmo dans l’émission qui succède à On n’est pas couché. Et après avoir parlé avec l’ancienne numéro 1 mondiale de tennis de sujets comme l’œnologie, la place des femmes dans le sport, l’homosexualité ou encore la GPA (gestation pour autrui), l’animateur de 57 ans a mené la conversation sur un tout autre domaine. « Alors ce n’est pas le sujet que je connais le mieux, je vous le dis tout de suite : les seins, la poitrine féminine ! », a-t-il prévenu, tout en présentant la Une du magazine de L’Equipe, qui titrait « Parfois, on oublie les seins ».
Une enquête sur les poitrines des sportives, qui a semble-t-il passionné tout le plateau. « Douloureuse, embarrassante, parfois trop volumineuse, encore mal protégée, la poitrine fait partie des facteurs influents directement sur la performance des sportives de haut-niveau » : Laurent Ruquier a commencé à lire un extrait de l’article qui parle de « l’exception Serena (Williams, ndlr) » : « Serena Williams, l’ancienne numéro 1 mondiale, est l’une des très rares joueuses du circuit à avoir une poitrine généreuse, mais elle a tenu bon sur le court et face au regard d’autrui ».
La poitrine, un handicap chez les sportives ?
Suite à cela, il a demandé à l’ancienne tenniswoman, devenue entraineuse, si la poitrine était un handicap pour les femmes sportives. Gênée mais souriante, la jeune maman a répondu : « Alors personnellement je n’ai pas ce problème, je n’ai pas eu ce problème dans ma carrière ». Pour autant, la jeune femme de 41 ans a admis que c’était un sujet presque tabou dans le milieu : « C’est vrai qu’on ne l’aborde jamais », tout en suggérant qu’il fallait peut-être « un équipement adapté ». Guilleret, Laurent Ruquier lui a alors rappelé que « ça n’a jamais été un problème » pour elle. Ce à quoi, mi-amusée, mi-gênée, Amélie Mauresmo a répondu : « Voilà, on retiendra ça ! ».
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