The Impossible : ce film est-il inspiré d’une histoire vraie ?

À l’occasion de la diffusion du film The Impossible dimanche 12 septembre 2021, à partir de 21h05 sur W9, Télé Star vous dévoile si le scénario de ce long-métrage est basé sur une histoire vraie ou pas.

Sorti au cinéma en 2012, le film intitulé The Impossible, porté par Naomi Watts, Ewan McGregor et Tom Holland, sera rediffusé dimanche 12 septembre 2021, à partir de 21h05 sur W9. Réalisé par le cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona, ce long-métrage met en scène un couple et ses trois garçons qui partent en vacances en Thaïlande, à Khao Lak. Ils arrivent la veille du terrible tsunami du 26 décembre 2004. Surpris par la vague géante au moment où ils sont dans la piscine de leur hôtel, ils sont séparés en deux groupes mais réussissent à survivre malgré de graves blessures. Au milieu du chaos, de toutes ces personnes traumatisées perdues et endeuillées, ils continuent leurs recherches, ne lâchent pas prise et vont se retrouver.

En fait, The Impossible retrace l’histoire d’une famille qui a réellement vécu ce drame. Originaire d’Espagne, María Belón et sa famille se sont retrouvées, parmi des dizaines de milliers de personnes, dans le chaos d’une gigantesque catastrophe naturelle : le tsunami du 26 décembre 2004 en Thaïlande. Présente sur le tournage de ce long-métrage, María Belón serait même devenue très complice avec l’actrice Naomi Watts, qui interprète son personnage à l’écran. Pour reconstituer le plus fidèlement possible le gigantesque tsunami, la production a travaillé avec pas moins de 6 sociétés spécialisées dans les effets spéciaux. Il aura fallu un an pour créer l’impressionnante séquence de 10 minutes pendant laquelle le premier raz-de-marée submerge la côte.

The Impossible : aucun effet numérique n’a été utilisé pour recréer le tsunami de 2004

"L’eau numérique n’a pas été envisagée très longtemps, car elle n’est pas assez réaliste", a déclaré Félix Bergés, le spécialiste d’effets spéciaux du film. Ce dernier voulait à la base créer un chenal de 60 mètres, afin de mettre au point le déluge le plus réaliste et le plus violent du cinéma. Néanmoins, celui-ci s’est vite rendu compte que les acteurs risquaient la noyade. "Nous avons vu qu’il n’était possible de créer qu’un chenal de 10 à 15 mètres", a-t-il déploré. "Mais cela nous a permis de les guider sans aucun problème quand nous allions utiliser des éléments comme des arbres, des débris ou d’autres choses", a ajouté Félix Bergés.

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