Ce 8 octobre, Sylvie Ortega, amie de Loana était l’invitée de Cyril Hanouna, dans TPMP. Elle a donné des nouvelles de la star de télé-réalité, actuellement hospitalisée…
Après une crise de démence, Loana a été hospitalisée en urgence, le 6 octobre dernier. Deux jours plus tard, son amie Sylvie Ortega a donné de ses nouvelles, sur le plateau de Touche pas à mon poste. Elle révèle qu’avec la star de téléréalité, elles se connaissent depuis une quinzaine d’années. Ces derniers jours, elle a assisté, dit-elle aussi à un « drame total », « une histoire qui vire au cauchemar, et qui ne lui plait pas du tout »…
« Oui, Loana veut crever »
Actuellement en psychiatrie, par crainte d’une overdose, Loana est très seule et dans un état sérieux. « Aujourd’hui je l’ai eu au téléphone » assure Sylvie Ortega. Elle annonce : « Elle a enfin retrouvé ses esprits, elle était plutôt très mal, j’ai eu très très peur ». Elle commente : « Son premier coup de fil a été pour moi, j’ai pu discuter avec elle ». Sans en dire plus sur le contenu de cet appel, elle a insisté que « bien sur » elle s’inquiétait pour Loana, mais que « non » elle n’était « pas sortie d’affaire »…
Apparemment, Loana « est encore sous l’effet des médicaments donc on est encore un peu décalé » dit Sylvie Ortega. Elle précise par ailleurs : « Mais quelqu’un qui est malade n’est pas dingue. Elle sait très bien ce qu’elle dit ». L’amie de Loana confirme donc à l’équipe de Baba que « Oui, Loana veut crever ». Elle précise aussi : « Je ne suis pas fataliste, mais je suis lucide. Je l’ai vu très mal au plus bas, j’avais peur que son coeur s’arrête ».
Il faut qu’elle « cesse d’être amoureuse »
Ce jeudi soir, Sylvie Ortega a également profité de ce passage télé pour régler ses comptes avec Fred Cauvin, qu’elle tient pour responsable. A propos de la guérison de Loana, elle explique : « Bien sur qu’il y a espoir, mais il faut qu’elle soit soignée, et aussi de certaines personnes ». Elle souhaite donc que son amie « cesse d’être amoureuse de quelqu’un qui a une emprise terrible sur elle ».
Elle déplore : « c’était pas l’aider de prendre des photos de son appartement et d’appeler la police pour se protéger ». Et de rappeler aussi : « On est là pour parler de quelqu’un qui est en détresse, qui est malade. On est là pour parler de son état, et pas de l’état de son appartement ».
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