Kim Glow en larmes et bloquée en Tunisie : Yann Barthès lui glisse un tacle savoureux dans Quotidien !

La vidéo de Kim Glow en pleurs à l’aéroport de Carthage en Tunisie a fait le buzz. L’équipe de Quotidien

À la suite de la pandémie du COVID-19, qui se propage de jour en jour faisant de nombreux morts en France et dans le monde entier, le président Emmanuel Macron a pris la parole ce lundi 16 mars. Le chef de l’État a indiqué que « pour 15 jours au moins, nos déplacements seront fortement réduits. Les regroupements extérieurs, réunions familiales ou amicales ne seront plus permises. Seuls doivent demeurer les trajets nécessaires ».

De nombreuses autres informations ont été données sur le coronavirus dans l’émission, Quotidien sur TMC. Et, dans sa chronique, la journaliste Salhia Brakhlia a diffusé la vidéo de Kim Glow qui a fait le buzz cette semaine.

L’ancienne candidate de télé-réalité est « bloquée en Tunisie » et a tenté de « s’inscrire sur les listes de rapatriement à l’ambassade ». « On essaie de voir le bon côté des choses et de faire comme si on ne stressait pas », a-t-elle lâché dans l’une de ses vidéos avant un inattendu changement d’ambiance. 

« Tout le monde se renvoie la balle de ping pong. Au bout d’un moment je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas d’avion militaire qui nous rapatrie », a-t-elle lâché en sanglots. « C’est rigolo deux minutes mais ce n’est pas notre pays ici. Ça ne rigole pas ici, c’est la dictature (…) Il faut un rapatriement militaire. Il faut quoi Emmanuel Macron en France ? On est bloqué là. Mais c’est une blague ou quoi ? ».

De retour en plateau, Yann Barthès a réagi en lâchant : « Une autre forme de virus ». Ce n’est pas le seul à avoir attaqué la bimbo puisque le youtubeur Mohamed Henni l’a violemment insultée sur les réseaux sociaux tout comme de nombreux internautes.

Face à cette polémique, l’ex d’Anthony Matéo s’est justifiée en disant avoir été « apeurée », « en stress » avant d’attaquer ses détracteurs.

Et une fois rentrée en France, elle a de nouveau pris la parole : « Certains Tunisiens ont été profondément offensés par le mot « dictature » visiblement un dérapage verbal lors d’un moment de panique. C’était sans doute politiquement incorrect néanmoins n’y voyez là aucune attaque personnelle. J’aime votre pays j’y viens trois fois par an. Comprenez bien que les circonstances étaient atténuantes, mes mots ont dépassé mes pensées, je ne souhaitais pas blesser personne. Merci donc de votre indulgence, nous devons rester soudés en cette période de crise sanitaire. »

Suffisant pour se faire pardonner ?

Jb.

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