Tristane Banon a répondu sur Twitter à ceux qui pensent qu’elle tire un profit financier des ventes de son livre, ressorti en poche en amont de la diffusion d’une série Netflix sur l’affaire DSK.
A propos de
Tristane Banon
Tristane Banon met les choses au point. La journaliste et écrivaine est de retour dans le paysage médiatique après la sortie de Chambre 2806 : l’affaire DSK, disponible sur Netflix depuis le 7 décembre. Son témoignage dans la série documentaire réalisée par Jalil Lespert a fait resurgir une vague de critiques. Sur son compte Twitter ce jeudi 17 décembre, elle s’est défendue de tirer profit de l’affaire.
« À toutes fins utiles, puisque ça revient souvent : NON, je n’ai pas été payée pour le doc Netflix et NON, je ne garde pas ce que me rapporte la vente de mon livre ‘Le Bal des hypocrites’, ressorti en poche. Je reverse cet argent à des assoc’. Et bonne journée aux experts comptables de ma vie !« , a-t-elle publié. À une journaliste qui lui a répondu que le fait qu’elle garde les revenus de l’ouvrage ne la « choquerait aucunement« , elle a écrit : « Merci de le dire, je m’offre le luxe de pouvoir dire que je n’ai jamais voulu rien d’autre que faire savoir la vérité. Je n’ai jamais eu aucun interêt financier à faire savoir la vérité, c’est une liberté immense.«
À toutes fins utiles,puisque ça revient souvent:NON,je n’ai pas été payée pour le docNetflix et NON,je ne garde pas ce que me rapporte la vente de mon livre #LeBalDesHypocrites ressorti en poche,je reverse cet argent à des assoc’.Et bonne journée aux experts comptables de ma vie!
La première accusatrice de DSK
Si Chambre 2806 : l’affaire DSK traite principalement des événements survenus au Sofitel de New York en 2011, on y aborde aussi l’affaire du Carlton de Lille et l’histoire de Tristane Banon. On y redécouvre notamment un extrait de l’émission 93 Faubourg Saint-Honoré, présentée par Thierry Ardisson, dans laquelle elle a formulé la première accusation publique contre l’ancien présidentiable en 2007. Son témoignage sur les faits datant de 2003 avait provoqué les rires des autres invités, et de l’animateur -aussi interrogé dans la série documentaire-, qui s’était exclamé : « J’adore ! » Elle revient sur les faits dans Le Bal des hypocrites, publié en 2011 aux éditions Au diable Vauvert, suite à l’éclatement de l’affaire du Sofitel.
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE
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