Mercredi 25 mars, le prince Charles a été testé positif au coronavirus. Alors qu’il ne présentait que des symptômes bénins, le futur roi a quand même eu droit d’accéder au dépistage. Ce qui entraîne une question : a-t-il bénéficié d’un traitement de faveur ? Le ministre de la Santé britannique répond.
Forte inquiétude pour la famille royale. Cette fois, cela n’a rien à voir avec Meghan Markle et le prince Harry. Depuis le mercredi 25 mars, une chape de plomb est tombée sur la monarchie britannique : le Prince Charles a été testé positif au coronavirus. « Il présente des symptômes bénins mais est en bonne santé et a travaillé comme d’habitude à domicile ces derniers jours. La duchesse de Cornouailles a également été testée mais n’a pas le virus. Conformément aux conseils du gouvernement et des médecins, le prince et la duchesse s’auto-isolent désormais chez eux en Écosse« , apprenait-on alors par voie de communiqué.
Depuis, les nouvelles arrivent au compte. Si son épouse, Camila Parker-Bowles s’avoue « préoccupée pour lui », le futur roi reste dans un état d’esprit positif. Il se dit également « très touché » par les milliers de messages, sur les réseaux sociaux, lui souhaitant un prompt rétablissement. Mais plusieurs questions restent en suspens. D’abord, qui a contaminé le prince Charles ? Si certains ont accusé le prince Albert, le monarque monégasque s’en est défendu.
Des symptômes « suffisamment importants »
En Grande-Bretagne, une autre question est sur certaines lèvres : alors que les tests ne sont pas généralisés, le prince Charles a-t-il bénéficié d’un traitement de faveur pour être dépisté ? Interrogé à ce sujet par Sky News, la réponse du ministre de la Santé britannique, Edward Argar, a été claire. Il a assuré que le couple royal n’avait bénéficié d’aucun passe-droit, mais simplement que les symptômes étaient « suffisamment importants pour qu’il puisse bénéficier du test », comme le relève Télé-Loisirs. Comme le soulignait également Libération, le prince Charles a été testé dans un hôpital public, ce qui se voulait être une preuve de l’absence de traitement de faveur. A la télévision britannique, Edward Argar a ensuite enfoncé le clou et voulu désamorcer tout début de polémique : « Je ne vais pas entrer dans plus de détails sur son Altesse Royale, sauf que je suis sûr que tout le monde lui souhaite un bon rétablissement« . Au moins un point sur lequel chacun tombera d’accord.
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