En décembre 1995, Lady Diana était à New York pour recevoir un prix humanitaire. A son retour, elle n’était déjà plus la même…
Si l’interview qu’elle a accordée à Martin Bashir pour la BBC, a tout changé pour la princesse Diana, en 1995, son voyage à New York a lui aussi marqué une transformation dans sa perception d’elle même. C’est ce que révèle son coach, Stewart Pearce, au magazine People, cette semaine. Le spécialiste de la prise de parole en public rapporte en effet que Lady Di a fait appel à ses services pour apprendre à dominer sa peur face à la foule.
Ce voyage à New York qui a tout changé
« Terrorisée », dit-il, « elle savait que sa voix était une voix de soumission, pas une voix de triomphe. Elle voulait arriver à ça ». Et de se féliciter, quand en décembre 1995, elle a finalement réussi à passer du status de « jeune femme sage et peinée » à celui de « leader humanitaire assuré et puissant ». C’était au cours d’une soirée caritative à l’hôtel Hilton de New York. Ce soir là, devant un parterre de stars, dont Donald Trump et le Dr Henry Kissinger, Lady Diana avait reçu le prix de l’association caritative United Cerebral Palsy en reconnaissance de son travail auprès des enfants malades et défavorisés.
Sur scène, dans une robe du soir au décolleté époustouflant, elle avait pris la parole pour appeler à des efforts pour aider les malheureux, et faire preuve de compassion dans un monde avec trop de souffrance… Ce soir là, elle avait également fait face à une question plutôt hostile et invasive, venant du public. Elle qui était déjà à l’époque poursuivie par les paparazzi (deux ans à peine avant sa tragique mort), avait été questionnée sur ses enfants.
Une question invasive sur ses enfants
On lui avait en effet demandé où étaient ses fils, les princes Harry et William, pendant son voyage aux États-Unis. Et la maman de répondre, en gardant son calme : « Ils sont à l’école, comme tous les bons enfants devraient l’être, et s’amusent ». Un sang froid qui lui avait valu 10 minutes d’applaudissements dans la salle. Et la fierté de Stewart Pearce.
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