La guerre repart entre Nicole Scherzinger et les Pussycat Dolls

Le retour des Pussycat Dolls n’est sûrement pas près d’arriver. Robin Antin, la fondatrice du girls band, a porté plainte contre
Nicole Scherzinger. Elle lui reproche de refuser de se produire à moins d’obtenir 75 % des parts de Pussycat Dolls Worldwide, l’entreprise commerciale qui gère les droits du groupe, au lieu des 49 % convenus d’après elle par un accord antérieur. Enfin, la chanteuse de 43 ans réclamerait « un contrôle créatif complet » et « une autorité décisionnelle finale » sur l’avenir de la formation.

Des allégations niées en bloc par Nicole Scherzinger qui a répondu par le biais de Howard King, son avocat, dans un communiqué publié par People. Pour le juriste, cette plainte est « une tentative désespérée » de Robin Antin « de détourner la responsabilité de ses propres échecs en essayant d’imposer à Nicole des obligations qui n’ont tout simplement pas lieu d’être ».

Compromis

Les Pussycat Dolls avaient annoncé leur reformation en 2019 et il était prévu que Nicole Scherzinger retrouve ses comparses pour une tournée en 2020. Pandémie oblige, la tournée avait été repoussée, le tourneur Live Nation y ayant investi 600.000 dollars comme le montrent les documents versés à l’appui de la plainte. Or, le contrat de tournée stipulait que la somme devrait être retournée en cas d’annulation. Enfin, il était prévu que Nicole Scherzinger empoche pas moins de 32,5 % des bénéfices engrangés par ces concerts, contre 12,5 pour Robin Antin et le reste divisé entre les autres membres.

La tournée, qui avait été initialement reportée au printemps de cette année, est désormais plus qu’incertaine, à moins bien sûr que Nicole Scherzinger et Robin Antin parviennent rapidement à un terrain d’entente.

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