Ce dimanche 22 mars, France 2 diffuse « Les Choristes », film dans lequel François Berléand donne la réplique, entre autres, à Gérard Jugnot et Jean-Baptiste Maunier. Dans un entretien qu’il a accordé au magazine « VSD » le 30 janvier dernier, l’acteur de 67 ans s’est confié sur son rôle de papa. Il a ainsi expliqué comment il élève ses quatre enfants. Non Stop People vous en dit plus.
Le 29 janvier dernier, François Berléand a repris du service sur scène. En effet, il a assuré la première représentation de la pièce « Encore un instant » au côté de Michèle Laroque au théâtre Edouard VII, à Paris. Peu avant de retrouver son public, il s’était confié sur Europe 1 dans l’émission « La table des bons vivants ».
« Moi, je ne mange pas avant, je soupe après le spectacle. Je ne peux pas ingurgiter le moindre aliment avant de jouer, ça ne passe pas. Le trac. Je l’ai toujours », expliquait-il. Pourtant, le comédien aime être derrière les fourneaux. « Je fais des gratins de tout, j’adore les gratins. Et j’adore en faire sans fromage ! » continuait-il sur les ondes d’Europe 1.
« Ils n’ont jamais eu de pression »
Le 30 janvier dernier, François Berléand a donné un entretien exclusif au magazine « VSD » à l’occasion de la sortie du film « L’Esprit de famille » dans lequel ses jumelles Lucie et Adèle jouent. Une interview réalisée chez lui, dans le 13e arrondissement de Paris. À noter qu’en plus d’être l’heureux papa de jumelles, l’acteur a deux grands enfants, Fanny et Martin.
Celui qui a confié avoir eu une relation compliquée avec sa maman a évoqué son rôle de père. Il a ainsi parlé de l’éducation qu’il a souhaité donner à sa tribu. « Avec mes enfants, ça a toujours été très simple : ‘Vous ne m’emmerdez pas, je ne vous emmerde pas’. (Rires) Vous êtes polis, ne faites pas de bruit. Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu’on vous fasse. Pas besoin d’être premiers de la classe, vous passez normalement », a-t-il dit. Et de poursuivre : « Je leur ai donné tout l’amour que je pouvais. Ils n’ont jamais eu de pression, contrairement à ce que j’ai vécu avec ma mère, qui se sacrifiait pour moi ».
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