Dans Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert joue le rôle de psy pour des invités prêts à lui livrer l’extrême intimité de leur vie. Si elle se veut rassurante et à l’écoute, l’animatrice est aujourd’hui très inquiète pour les suites de cette crise sanitaire. Et notamment du traumatisme pour ses enfants.
A propos de
Faustine Bollaert
Maxime Chattam
Tous les jours aux commandes de Ça commence aujourd’hui, sur France 2 à 13h50, Faustine Bollaert enregistre des records d’audience. 1,3 millions de téléspectateurs auxquels s’ajoutent 433 millions de vues sur YouTube et plus de 2 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux (YouTube, Facebook et TikTok). Sa popularité s’étend même chez les Millenials. Rassurante, à l’écoute des invités venus lui livrer des récits des plus intimes, Faustine Bollaert est suivie par un psy pour se vider « de ces énergies qui ne sont pas les (siennes) », comme elle le confie à Femme Actuelle, ce vendredi 30 avril.
De nature plutôt positive, l’épouse de Maxime Chattam se dit aujourd’hui inquiète suite à la crise sanitaire. Et particulièrement pour ses enfants Abbie (7 ans) et Peter (5 ans). « On crée une génération un peu plus traumatisée qu’on ne le pense, explique Faustine Bollaert. Les enfants grandissent avec le masque, avec cette peur physique du contact de l’autre. » Celle qui a fait ses marques aux côtés de Michel Drucker dans Vivement Dimanche évoque notamment cette manière de se saluer avec le coude. « Ils se touchent moins, évoluent avec l’idée que l’autre est un danger », estime-t-elle.
« Cela laisse des traces indélébiles en eux »
Quid de ses enfants, Abbie et Peter, fruits de ses amours avec le romancier Maxime Chattam ? « Même si mes enfants le vivent bien et sont préservés, cela laisse des traces indélébiles en eux, confesse-t-elle. J’ai hâte d’enrayer le système. » Si d’habitude, Faustine Bollaert est très prise par les plateaux de tournage, lors du confinement, l’animatrice de 42 ans a pu profiter de plus de temps avec eux et même se lancer dans un Twister avec les enfants « à 8 heures du matin ». Un mal pour un bien.
Crédits photos : RINDOFF-MOREAU / BESTIMAGE
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