Charlene de Monaco : son père menacé avec un AK47 pointé sur le visage

Charlene de Monaco, actuellement en Afrique du Sud pour se soigner d’une infection ORL, retrouve le pays où elle a grandi. Une enfance parfois mouvementée, sous ses airs tranquilles. Il y a quelques années, son père a frôlé la mort…

Charlene de Monaco traverse une période douloureuse. La princesse tente de guérir d’une infection de la sphère ORL, en Afrique du Sud, depuis plusieurs mois. Isolée de ses proches, l’épouse du prince Albert II de Monaco a néanmoins ses repères, puisqu’elle a grandi à Benoni. L’occasion de revenir sur son enfance. Lorsqu’elle était petite, l’ancienne nageuse professionnelle a vécu quelque temps dans les quartiers blancs, près de Johannesburg. Une banlieue pavillonnaire tranquille, du moins en apparence…

Le 28 juin 2016, l’Agence France-Presse relayée par France Info, révélait une anecdote pour le moins marquante, vécue par le père de Charlene de Monaco. Un jour, Mike Wittstock a été menacé avec un fusil d’assaut AK47, pointé sur le visage. Son nez a été cassé, et sa voiture volée, ainsi que ses cartes bancaires, son alliance, sa montre et une chaîne en or. Dans les environs, de nombreux « carjackings » étaient recensés, la police appelant les habitants à la prudence. C’est dans ce contexte que le papa de Charlene Wittstock a songé à rejoindre la principauté.

« L’Afrique est importante pour moi »

Le père de Charlene de Monaco est toutefois très attaché à son pays. Dans les colonnes de Point de Vue le 10 décembre 2014, il confiait : « Nous avons beaucoup d’engagements en Afrique du Sud et il est difficile pour mon épouse et moi de venir ensemble [à Monaco, ndlr]. C’était un peu dur au début, mais maintenant nous avons pris l’habitude de nous relayer. » Mike Wittstock aime se rendre au Rocher, quand la situation le permet. « Le climat de Monaco est proche de celui de l’Afrique du Sud, comme celui de Cape Town. Nous nous sommes fait beaucoup de bons amis tant à Monaco qu’à la Turbie. Ils ne sont pas intrusifs. Il existe cependant une petite barrière linguistique, puisque je ne parle pas français et certains ne parlent pas anglais. J’adorerais m’y mettre, mais c’est si difficile à mon âge », poursuivait-il. Et de conclure : « L’Afrique est importante pour moi. J’ai la chance aujourd’hui de pouvoir profiter des deux. »

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : Olivier Huitel / Pool Monaco / Bestimage

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