Samedi 8 mai 2021, Audrey Fleurot s’est confiée, auprès de Paris Match, sur l’éducation qu’elle souhaite donner à son fils, Lou Glissant, et ses beaux-enfants. Un choix qu’elle a fait à l’image de sa propre enfance entre ennui et indépendance.
- Audrey Fleurot
Elle est la nouvelle star de TF1. Audrey Fleurot est le visage de la nouvelle série de le Une, HPI, lancée le 29 avril 2021. Cette nouvelle fiction policière dans laquelle la comédienne incarne un personnage doté d’un haut potentiel intellectuel (HPI) marche très bien auprès des téléspectateurs. En effet, depuis son lancement le programme a rassemblé entre 9 et 11 millions de téléspectateurs. Des chiffres jamais atteints par une série française depuis une quinzaine d’années. Invitée de l’émission 50′ Inside, samedi 8 mai 2021, l’actrice a vécu une évidence immédiate avec le personnage de Morgane, qu’elle joue dans cette fiction. « J’attendais un peu mon coup de foudre, et puis je l’ai eu pour Morgane. Après, la grande inquiétude c’était : est-ce qu’il n’y a que moi qui ait un coup de foudre pour elle ? Est-ce que le personnage va rencontrer son public ? Et là, c’est vrai que ça ne nous appartient plus », a expliqué la comédienne.
Déjà vue dans Le Bazar de la Charité, Kaamelott et Intouchables, Audrey Fleurot a toujours choisi ses projets en fonction des personnages qu’elle devait interpréter. Des personnages qu’elle choit selon un critère. « Il se trouve que les personnages qui m’intéressent sont des personnages de femmes fortes, souvent autonomes. Ça ne m’a jamais intéressé de faire la femme de…, ou d’être le personnage féminin qui met en valeur le personnage masculin ».
Des enfants indépendants
Dans sa vie privée, Audrey Fleurot revendique la même liberté. A la tête d’une famille recomposée avec Djibril Glissant, la comédienne prône une éducation à son image pour son fils Lou et ses beaux-enfants. « Étant petite, je me suis ennuyée et je sais à quel point l’ennui permet le rêve et nourrit la créativité », a déclaré l’artiste auprès de Paris Match, samedi 8 janvier 2021. Pour elle, pas question de mettre la pression aux enfants : « J’essaie de leur inculquer ça. Pourquoi les stimuler sans cesse, les rendre performants ? Moi, ça m’angoisse. Je ne force pas mon fils à suivre des cours d’anglais ou de piano. J’ai envie qu’il prenne son temps ». En revanche, l’oisiveté ne sera pas au programme. Son fils, Lou, doit pouvoir se débrouiller tout seul comme un grand. « Ce qui est certain, c’est qu’il saura laver son linge et se faire à manger seul !«
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