Le scandale continue pour District Z. Après la diffusion de 2 épisodes sur TF1, Arthur a écopé d’une mise en demeure, cette semaine.
C’est le site américain Deadline qui annonce la nouvelle ce 23 décembre dans ses colonnes. La société de production d’Arthur, Satisfation a reçu une mise en demeure de Adventure Line Productions (ALP) — la société de productions d’Alexia Laroche-Joubert, qui produit notamment « Koh-Lanta » ou « Fort Boyard ».
ALP menace d’attaquer la société d’Arthur
En raison de ses « préoccupations en matière de violation de format », l’ex directrice de la Star Academy a annoncé qu’elle était prête à intenter des poursuites judiciaires, « si un accord n’est pas trouvé entre les deux sociétés ». Il est reproché à District Z d’être une mauvaise copie de Fort Boyard, sans pour autant lancer le mot « plagiat ». Sur Twitter, les téléspectateurs ont notamment relevé les similitudes entre « la salle des coffres-forts de District Z et la salle du trésor de Fort Boyard ; les challenges dans le cinéma et les duels des Maîtres du temps, les divers personnages mystérieux ».
Arthur est également pointé du doigt pour avoir engagé « le réalisateur, les monteurs, le constructeur des épreuves ou encore le chef décorateur de « Fort Boyard ». Ce à quoi le producteur a répondu dans les colonnes du Parisien, il y a quelques jours : « Quel mal y a-t-il à prendre les meilleurs ? »
Pendant que le ton monte en coulisses, le mari de Mareva Galanter a par ailleurs engagé une agence de gestion de crise, depuis la diffusion du premier épisode de « District Z », le 11 décembre dernier. Après la première épisode avec Cartman, Vincent Desagnat, Arnaud Ducret, Denitsa Ikonomova et Michaël Youn, LaFrenchCom a identifié 400 faux comptes Tweeter (sans abonné ni abonnement) qui auraient été créés pour envoyer 4000 tweets afin de « saboter » District Z, assure l’agence spécialisée au Parisien.
Arthur victime d’une campagne de dénigrement ?
Dans le rapport qui a été lu par nos confrères, on relève qu’il y aurait eu le 11 décembre dernier « un dénigrement » et « une manipulation » via des comptes Twitter « créés de toutes pièces », destinés à « mettre en scène un phénomène de foule » et « influencer la perception des utilisateurs ».
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