Dans le téléfilm Harcelés, bientôt diffusé sur M6, Claire Keim joue la mère d’une famille victime de cyber-harcèlement. Si elle n’a jamais été harcelée elle-même, elle se prémunit en ne partageant pas de « photo intime » sur les réseaux sociaux.
Claire Keim
Claire Keim est de retour à la télévision. La comédienne dernièrement vue dans la mini série Infidèle sera bientôt à l’affiche de Harcelés, un thriller diffusé sur M6, lundi 14 juin. Le pitch : une famille va voir son quotidien bouleversé par des attaques virtuelles et tenter de démasquer celui qui se cache derrière ces intrusions. Isabelle (Claire Keim) et Eric Vallorca (Bruno Salomone) vont devoir être plus solides que jamais, et redoubler d’efforts quand leur fils Hugo (Louka Minnela) se retrouvera en danger de mort… Dans une interview accordée à Télé Star, lundi 7 juin, Claire Keim s’est confiée sur son rapport aux réseaux sociaux et aux dérives d’internet. Elle a notamment révélé avoir « fait l’expérience des haters, comme tout le monde ». « Aujourd’hui, quoi que vous postiez sur les réseaux sociaux, vous trouverez toujours quelqu’un qui n’est pas d’accord avec vous », a-t-elle déclaré.
« Elle ne disparaîtra jamais«
Il y a quelques années, Claire Keim a notamment été victime d’une usurpation d’identité. « Malheureusement, la police était totalement impuissante », a-t-elle déploré. Ajoutant cependant : « Mais harcelée, non. À part quelques “relous” que je bloque sans arrêt mais qui finissent toujours pas retrouver mon numéro de téléphone, j’ai été assez préservée. J’espère que ça va durer ». Et pour que cela duren la mère de Uhaina, bientôt 13 ans et fruit de ses amours avec Bixente Lizarazu, fait très attention. « J’ai toujours su que la moindre photo intime que je pouvais poster sur les réseaux partait dans l’univers en moins d’une seconde. Et que, même si je l’efface, elle ne disparaîtra jamais », assure-t-elle. Elle ne publie donc pas tout sur les réseaux sociaux, loin de là. Et elle change ses « mots de passe fréquemment » : « J’essaye d’avoir un peu de bon sens mais on ne peut pas penser à tout ! Du coup, c’est un peu dommage mais on est obligé de se censurer« . Pour vivre heureuse, Claire Keim vit (presque) déconnectée.
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