Patrick Fiori voue une forte admiration pour Jean-Jacques Goldman. Dans un entretien accordé à Pure Charts le 21 novembre 2020, le chanteur s’est souvenu de sa première rencontre avec la star. Un instant qu’il n’est pas près d’oublier.
- Patrick Fiori
- Jean-Jacques Goldman
Patrick Fiori et Jean-Jacques Goldman sont liés par une grande amitié. Tous deux ont collaboré ensemble dans le cadre de Un air de famille, le nouvel album du coach de The Voice. Un opus essentiellement composé durant le premier confinement, et pour lequel l’interprète de Je marche seul a écrit le titre Nous ne le savons pas. Une chanson qui fait référence à l’actualité car elle traite de la crise sanitaire liée au coronavirus. Un honneur pour Patrick Fiori, qui n’a jamais caché son admiration pour Jean-Jacques Goldman. « Ce titre, je ne m’y attendais pas« , a-t-il confié à Pure Charts avant de poursuivre. « Prendre ce thème de l’épidémie, du virus, pour en faire une chanson n’est pas une chose simple. Je pense qu’il va y avoir des milliers de chansons qui vont naître sur ce sujet, des séries entières, des films (…). Avec Jean-Jacques, ça fait presque 18 ans qu’on collabore ensemble. A chaque fois c’est du cousu-main. Là, c’est de l’orfèvrerie ». Une amitié de plusieurs années dont le premier contact restera inoubliable pour Patrick Fiori.
Patrick Fiori, un véritable fan de Jean-Jacques Goldman
Le premier échange entre Patrick Fiori et Jean-Jacques Goldman remonte à une trentaine d’années. Et il n’était pas physique : « Lorsque je devais avoir 19 ans, j’avais envoyé 400 ou 500 lettres à tous les producteurs, artistes, chaînes de télé et maisons de disques (…) Et vous savez quoi ? La seule réponse que j’ai reçue, c’était celle de Jean-Jacques Goldman. Il m’a dit non, bien sûr, mais il m’a expliqué pourquoi, en me disant : ‘J’espère que vous trouvez des auteurs-compositeurs à la hauteur de votre voix' ». Les années ont ensuite passé et les deux artistes se sont retrouvés aux Restos du cœur : « Dans les coulisses, je reparle de cette fameuse lettre à Jean-Jacques. Il me répond ‘Ah bon ?’ d’un air étonné (…) Il s’est approché de moi gentiment et il m’a tendu un petit papier arraché d’une table avec son numéro dessus, en me disant : « Si tu as envie de m’appeler, si tu besoin de quoi que ce soit, je suis dans le coin ». Et là une belle amitié est née …
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