En cherchant une solution pratique pour alléger ses placards, Milda Mitkute a eu, à l’âge de 21 ans, l’idée de Vinted. Récit de la transition écologique d’une fashion victime.
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Vinted est l’outil qu’il manquait à la mode pour passer massivement à la seconde main, sa fondatrice en est persuadée. Et ce ne sont pas les 30 millions d’utilisateurs en Europe dont 12 millions en France qui viendront contredire ce postulat. Mais cela ne fait pas tout, Vinted est notamment critiquée par les écolos pour son impact carbone catastrophique dû aux envois. Dans ses propres habitudes, Milda Mitkute avance d’autres réponses, comme celle, in fine, de simplement moins consommer. « Aveuglée pendant trop longtemps », la jeune femme estime que le développement de sa conscience écologique s’est fait en même temps que celui de Vinted. Celle qui s’est retirée de l’entreprise il y a quatre ans pour voir grandir ses enfants s’est, par exemple, donné comme défi d’habiller son premier né avec 95% de produits de seconde main, chinés sur la plateforme. Sa plus grande fierté ? « Que Vinted montre aux gens que partager, c’est se soucier des autres ». « et sans trop d’efforts, changer doucement pour le meilleur », pourrait-on ajouter.
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