Jean-Paul Belmondo : Comment l'incorrigible séducteur a "frôlé le drame" pendant le tournage de l’As des as

Dans L’As des as diffusé le mardi 31 mars à 13h55 sur France, Jean-Paul Belmondo joue un boxeur qui fait le coup de poing pendant l’Occupation. Un rôle sur mesure pour le casse-cou au sourire ravageur qui ne laissait à personne d’autre le choix d’effectuer ses cascades.

Indestructible. Prêt de vingt après avoir été victime d’un AVC, l’acteur de L’As des as sorti en salles en 1982 et diffusé ce mardi 31 mars à 13h55 sur France 2 ne se porte pas trop mal. Récemment, sa belle fille Luana Belmondo, une ex-copine de Laeticia Hallyday, a confié à Gala : « Il va bien, c’est un monsieur qui va avoir 87 ans (le 9 avril prochain, ndlr). Il est toujours en forme, il se bat avec une joie de vivre exemplaire. Une belle leçon de vie. »

Et quelle vie ! Grand séducteur aux multiples conquêtes (parmi les plus célèbres Ursula Andress) à l’humour ravageur, casse-cou à la scène comme à la ville, Jean-Paul Belmondo n’a jamais fait les choses à moitié. Et surtout pas les cascades, qu’il réalisait lui-même.

Des camions entier de jouets pour Noël

A ses risques et périls. Pendant le tournage de l’As des as, il bien failli se tuer, comme le raconte Rachid Ferrache, alors âgé de dix ans et qui partageait alors l’affiche avec la star. Il expliquait dans Télé Star :  » C’était pendant la célèbre poursuite entre la voiture où nous sommes et les motards allemands. A un moment, Jean-Paul me cède le volant. Bien sûr ce n’est pas moi qui conduis, mais le cascadeur Remy Julienne. Il pilote la Mercedes à distance, caché sur une plateforme« .

A un moment, Belmondo perd la télécommande qui dirige la même Mercedes : « Je me retrouve donc à guider sur une route en pente la voiture lancée à pleine vitesse, avec Jean-Paul sur le capot… et mon pied n’atteint pas la pédale de frein ! Remy Julienne s’est hissé dans la voiture pour la stopper, mais on a frôlé le drame.  » Le même Rachid Ferrache, qui joue dans L’As des as le gamin que Belmondo prend sous son aile, se souvient aussi : « Après le film, il me téléphonait, m’emmenait déjeuner, m’invitait sur ses tournages et faisait expédier un camion entier de jouets pour moi et tout ma famille à Noël !  » Sacré Bébel…

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