Lors d’un entretien accordé à Sam Zirah, Vincent Shogun, ex-candidat des "Ch’tis", "Marseillais", ou encore "Les Anges", a fait de nombreuses révélations au journaliste. Notamment au sujet de la drogue qui "circulerait" sur les tournages ou encore sur la signification de la célèbre expression "plein, y’en a assez".
Depuis sa création, la téléréalité a toujours fait parler. Que ce soit pour les candidats, parfois trouvés vulgaires par les internautes, les clashs qui peuvent parfois être choquants et aller très loin, ou encore la drogue qui circulerait sur le tournage. Si aucune preuve n’existe à l’heure actuelle sur ce dernier point, les rumeurs vont bon train à ce sujet depuis plusieurs années. Et ce ne sont pas les déclarations de Vincent Shogun à Sam Zirah qui vont arranger la situation…
En effet, l’ex-candidat des « Ch’tis », « Marseillais », ou encore « Les Anges de la téléréalité », a accordé un entretien au journaliste en décembre 2022. L’occasion pour lui de revenir sur sa « carrière », mais aussi ses problèmes liés à la drogue qui l’ont d’ailleurs conduit tout droit en prison. Des problèmes d’addiction, et de drogue présente sur les tournages, qu’il a évoqués quelques jours plus tôt avec Jeremstar. Dans une interview accordée au blogueur, l’ex d’Hillary a notamment avoué qu’il a « déjà pris de la drogue avec un cameraman ».
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Vincent Shogun balance sur les « Marseillais »
S’il n’a donné aucun nom et n’a accusé personne, auprès de Sam Zirah, Vincent Shogun a finalement fait des révélations supplémentaires en ce qui concerne « Les Marseillais » et leur célèbre expression « plein, y’en a assez, fraté ». Une expression que de nombreux candidats ont utilisée dès leur première saison, à Miami, et qui n’a pas manqué de susciter quelques interrogations. Notamment sur sa signification. Et celle-ci aurait un lien avec la drogue d’après l’ex-candidat de télé-réalité.
D’après Vincent Shogun, quand un candidat lancerait cette phrase, avec un geste pour l’accompagner, cela correspondrait à une « ligne de cocaïne ». « Le signe, c’était un code […] Souvent quand j’arrivais en tournage, ils étaient contents, parce qu’ils savaient que c’est moi qui avais la drogue », lâche-t-il à Sam Zirah avant de préciser : « Y’en a assez fraté ! Quand je venais, ils étaient chauds tout le temps. Shogun arrive ! ». Dans la suite de l’entretien, l’ex d’Hillary et Barbara Lune a également avoué qu’il lui était arrivé de débarquer en tournage avec « 30 à 50 grammes de drogue ».
R.F
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