Pascale de La Tour du Pin : ce rituel un peu anxiogène qu’elle doit faire avant sa matinale

La journaliste de LCI continue à être en plateau malgré le confinement. Elle a répondu aux questions de Télé Star sur l’organisation de la chaîne face à l’épidémie.

Ce n’est pas de tout repos d’être à la tête d’une matinale télé, mais ça l’est encore moins durant une pandémie. Dans notre prochain numéro en kiosque et disponible en version numérique ce lundi – avril, Pascale de La Tour du Pin, journaliste de LCI, a accepté de répondre à nos questions sur son quotidien à l’antenne. "Je me lève toujours à 1h30. Je suis à LCI dès 3 heures", nous confie cette lève-tôt. Avant de nous détailler un petit rituel un brin anxiogène avant d’entrer dans les locaux : "A l’entrée du parking, on nous prend la température". Un rituel qui avait également été imposé au public de certaines émissions avant que celles-ci décident finalement de ne plus avoir que des chroniqueurs en plateau. C’était le cas notamment de l’émission de Yann Barthès Quotidien.

Les plateau est également désinfecté entre chaque émission, explique la journaliste de LCI qui indique limiter au maximum les interactions et parler à ses interlocuteurs à 1 mètre de distance.

Pourquoi choisir de rester en plateau ?

Les chaînes et émissions d’information font des records d’audience depuis le début du confinement. Les Français sont inquiets et veulent être informés des évolutions de la situation historique dans laquelle nous nous trouvons. C’est d’ailleurs pour cela que Pascale de La Tour du Pin, continue de venir en plateau : "C’est ici et maintenant qu’on nous attend, nous explique-t-elle. On est au cœur de notre métier qui est d’informer". Dans presque toutes les émissions, les chroniqueurs restent en revanche de chez eux pour effectuer leurs duplex.

Tout comme elle, Samuel Etienne, à la matinale de Franceinfo depuis 2017, a également choisi de continuer à être en plateau. Dans nos colonnes, il expliquait : "C’est mon métier de rapporter la marche du monde. J’ai 48 ans et il y a quarante ans, mon rêve de gamin étai d’expliquer le monde pour pouvoir le réparer. Et c’est tellement l’essence de ce que l’on fait en ce moment : on informe et on conseille".

Interview à retrouver en intégralité dans votre magazine Télé Star disponible lundi 6 avril en kiosque et en version numérique.

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