L’Amour est dans le pré : coups de foudre, nouvelles méthodes…. les premiers secrets de la saison 17

Coups de foudre instantanés, grands timides qui se révèlent boute-en-train, prétendantes déterminées… Ça va remuer cette année dans L’amour est dans le pré, diffusé sur M6 à partir du 22 août, tous les lundis à 21 h 10.

L’heure d’ADP saison 17 a sonné et vous avez intérêt à préparer mouchoirs et sodas tant il sera difficile de décoller de votre télé. Tout a été fait pour que les treize agriculteurs candidats de l’année vivent leur aventure pleinement. Le tout avec les commentaires facétieux de Karine Le Marchand.

UNE RECHERCHE INTENSE DE LA PERLE RARE

Si les casteuses allaient déjà à la rencontre de potentiels candidats, la recherche s’est intensifiée cette saison. «Une équipe se déplace partout, explique Déborah Huet, directrice des programmes chez Fremantle France. Non seulement au Salon de l’agriculture, mais aussi dans les foires agricoles ou les grands marchés. Il y a des personnes qui ne feraient pas la démarche d’elles-mêmes. On prend un premier contact, on les rappelle, on va les voir chez elles et on s’assure qu’elles sont prêtes à vivre cette expérience.»

ANCIEN CANDIDAT ET EXIGENCES

Si vous aviez été touchés par les déboires de Thierry «coquin de sort» en saison 10, sachez qu’il est de retour. Premier impératif : lire ses courriers avant de voir les photos de ses prétendantes pour éviter… l’éblouissement. À voir si cette méthode portera chance au viticulteur et aux deux autres candidats qui ont préféré découvrir la personnalité de leurs correspondantes avant de s’attarder sur leurs atouts physiques. Quant à Sébastien, le beau Corse, il a été très clair : les photos pots de peinture prises avec filtres atterriront directement sur la pile "Non" !

DES PROFESSIONS INÉDITES

Une brasseuse de bière, une inséminatrice équine, un professionnel de l’équitourisme en roulotte, un castanéiculteur… La production est friande de ces métiers mal connus du grand public. Mais pas à n’importe quel prix. «Nous ne choisissons pas les agriculteurs en fonction de leur profession, de leur genre ou de leurs préférences sexuelles, rectifie Déborah Huet. On est dans l’attente d’une aventure totalement authentique, avec des célibataires qui sont vraiment en recherche d’amour et qui ont vraiment besoin de nous.»

UN STAGE ACCÉLÉRÉ SPÉCIAL TÉLÉ

Pour la première fois de l’histoire de l’émission, la production a réuni tous les agriculteurs avant même la diffusion des portraits pour une initiation spéciale télé et réseaux sociaux. Les treize candidats, quatre femmes et neuf hommes âgés de 25 à 72 ans, ont pu s’informer sur le rythme des tournages et sur le principe du montage. Certains ont participé à des ateliers pour apprendre à utiliser Facebook et Instagram. Ils ont également été mis en garde contre les visiteurs indésirables, les haters qui ne manqueraient pas de poster des commentaires négatifs… «On leur a donné un maximum de clés pour se préparer au chamboulement qu’un passage à la télé provoque dans la vie de tous les jours.»

UN MONTAGE PLUS MUSCLÉ

Depuis quelques saisons, fini les soirées plan-plan au profit d’épisodes feuilletonnants. Cette année, le montage laisse encore plus la place au suspense. Doutes, décisions cruciales, revirements de situation, il vous faudra parfois attendre une semaine pour connaître la fin d’une histoire.

DES PÉRIPÉTIES JUSQU’AU BILAN

Il y a les grands timides, ceux qui savent exactement ce qu’ils cherchent, les cœurs en bandoulière, mais ne vous fiez pas aux apparences. Dès les speed datings, vous allez être surpris par des rencontres totalement muettes et des coups de foudre instantanés. Des personnalités vont se révéler. Pas besoin de scénario, les agriculteurs font le show, avec pour ligne commune de ne pas se jeter sur la première ou le premier venu. Même si le bilan ne sera tourné que fin septembre et peut réserver des surprises, il y a déjà quelques couples solides…

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