Depuis quelque temps, Jérôme Bonaldi se fait discret. Toutefois, le journaliste et présentateur continue d’éveiller la curiosité des téléspectateurs grâce au Mag de la science.
Jérôme Bonaldi, journaliste spécialisé dans les sciences ne chôme pas. A 67 ans, il continue de s’intéresser aux événements qui nous entourent, toujours avec un angle scientifique. Le 12 avril dernier, il a présenté sur la chaîne Science & Vie TV un numéro spécial de l’émission qu’il présente depuis 2012, Le Mag de la science. Celui-ci était consacré à l’incendie de Notre-Dame de Paris, survenu il y a un an, le 15 avril 2019. "Tout a déjà été fait et dit à ce sujet. (…) Nous avons demandé aux scientifiques qui travaillent sur la reconstruction de cet édifice de nous dévoiler leurs travaux car certains d’entre eux ont réalisé des choses passionnantes et intéressantes", a-t-il expliqué au journal de l’audiovisuel.
Jérôme Bonaldi, qui est devenu au fil des années une figure emblématique du PAF dit "ne pas avoir de projets" pour les mois à venir. Il se contente de vivre au jour le jour et profite d’instants de tranquillité. "Le Mag de la science, c’est génial et ça me permet de faire travailler les neurones encore un peu, mais aussi d’avoir du temps pour lire, apprendre, regarder, visiter… Je n’ai pas d’énormes projets aujourd’hui, si ce n’est que je voudrais continuer à faire Le Mag de la science car je pense que nous sommes utiles avec cette émission", a-t-il confié.
Jérôme Bonaldi : une carrière bien remplie
Le journaliste a endossé plusieurs casquettes. C’est sur Canal +, en 1984, qu’il a fait ses premiers pas de chroniqueur dans l’émission Nulle part ailleurs animée par Philippe Gildas, avant de devenir animateur de la première partie du programme de 1994 à 1997. En 1989, il s’est retrouvé aux commandes de l’émission scientifique Dis, Jérôme…? De 2000 à 2014, il a fait partie de l’équipe de Laurent Ruquier dans l’émission On va s’gêner sur Europe 1 où il parlait de l’un de ses sujets préférés : les innovations technologiques. Depuis février 2012, il présente Le Mag de la science, ce projet qu’il n’est pas prêt d’abandonner.
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