Invitée sur le plateau de Quotidien, Ophélie Meunier est sortie du silence. La jeune femme donne de ses nouvelles suite aux menaces de mort qu’elle a reçues après la diffusion d’un épisode de Zone Interdite.
Le 23 janvier dernier, M6 diffusait un reportage deZone interdite dont le sujet était centré sur l’islam radical. Suite à cette diffusion, la présentatrice, Ophélie Meunier avait reçu des menaces de mort et avait même été placée sous protection policière. Quelques jours plus tard, Géraldine Maillet, chroniqueuse dans Touche pas à mon poste avait apporté son soutien à sa consœur : "Je suis 100% derrière Ophélie Meunier, je voudrais qu’elle fasse la Une du Monde, je voudrais qu’elle soit en dernière page de Libération, je trouve que tous les journaux devraient la soutenir à 100%".
Jean-Marie Tricaud, producteur de l’émission Zone Interdite avait donné de ses nouvelles : "Elle va bien. Évidemment, c’est intolérable de se retrouver dans cette situation pour avoir fait son métier. Ophélie fait face, elle travaille. Elle est revenue au bureau. Mais, je ne vais pas vous raconter d’histoire, c’est une situation qui est très difficile à vivre", avait-il confié sur Europe 1. Ce mercredi 16 février, Ophélie Meunier était l’invitée de Yann Barthès sur Quotidien. L’occasion pour la jeune femme de se confier sur cette situation très compliquée.
Ophélie Meunier : "Ça va, ça va bien"
Ainsi, le présentateur est revenu sur les menaces de mort qu’elle a reçues : "C’est la première fois que tu prends la parole depuis la diffusion du documentaire sur l’islam radical à Roubaix. Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête à la suite de menaces de mort qui te visaient. Comment ça va ? Comment tu as vécu tout ça ?" Ce à quoi elle a répondu : "Ça va, ça va bien. Je m’exprime peu sur le sujet publiquement parce que c’est un sujet qui touche ma vie personnelle et ma famille, mais ça va, et j’ai le sourire aujourd’hui." Elle a aussi rappelé l’importance de son travail : "Nous journalistes, notre boulot c’est de parler des sujets le plus factuellement possible, sans idéologie. C’est ce qu’on a fait."
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