La Miss France et Miss Univers 2016 reprend le micro aux côtés de ses complices Denis Brogniart et Christophe Beaugrand dans la sixième saison du parcours des héros de TF1, Ninja Warrior, à partir de vendredi 7 janvier à 21 h 05.
Que vous inspire cette édition de Ninja Warrior ?
IRIS MITTENAERE : Elle fait très fort, le niveau est encore plus élevé ! Et nous avons davantage de participants que les autres années car à cause de la Covid, on reçoit des grimpeurs qui évoluent d’habitude en compétition.
En tant qu’animatrice avez-vous acquis des réflexes que vous ne possédiez pas au départ ?
Oui, forcément ! Mais plus que des automatismes en termes de présentation, ce qui est génial, c’est que je retrouve d’une saison sur l’autre les proches des candidats. Ça devient une aventure presque familiale pour moi car je me suis beaucoup attachée à eux.
On vous sent très à l’aise avec les enfants…
Pendant mes études dentaires, j’ai été amenée à les soigner et j’ai développé certaines stratégies. Parce que je vous jure que c’est plus facile de leur poser des questions que de leur faire ouvrir la bouche !
Gardez-vous l’impression d’être sous-exploitée par TF1 ou y avez-vous trouvé votre place ?
Dans Ninja Warrior, je me suis toujours super bien sentie. J’ai été accueillie comme une petite sœur… Mais oui, TF1 me fait confiance aujourd’hui et nous avons plusieurs projets en route. Mais je ne suis pas dans l’attente, je prends ce que la vie m’offre.
Quel regard portez-vous sur Diane Leyre, notre nouvelle Miss France ?
J’étais en Israël avec Diego (El Glaoui, son compagnon, ndlr) pour Miss Univers, et on a suivi l’élection en direct sur mon ordinateur. J’étais ravie car c’était ma favorite depuis le début.
… Et sur la performance de Clémence Botino à Miss Univers qui a fini 9e ?
Clémence était si incroyable que je pensais qu’elle irait plus loin ! Mais ce que j’ai appris en participant à ces concours, c’est que les critères sont très variables selon les jurés.
Vous imaginez-vous succéder à Sylvie Tellier un jour ?
Ce n’est pas du tout dans mes plans. Et c’est une perspective dans laquelle je ne me suis absolument pas projetée.
Si vous n’aviez pas été sacrée Miss France et étiez devenue dentiste, auriez-vous été moins heureuse ?
Non, parce que c’est quelque chose qui ne dépend pas du statut qu’on a. J’aurais fait un métier que j’aime et j’aurais été épanouie. Parce que selon moi, le bonheur, on se le choisit !
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