A l’occasion de l’arrivée de la nouvelle saison de la JLC Family sur MyTF1 Max, Télé Star a rencontré Jazz et Laurent. Le couple d’influenceurs se confie…
Télé Star : Vous dites vous "être perdus" à un moment donné, qu’entendez-vous par là ? Est-il devenu difficile de faire la différence entre télé et réalité ?
Jazz : On s’est perdu tout seul. Le fait d’être filmés n’a pas joué. Quand on est très médiatisé et que notre vie est exposée et racontée d’une certaine manière, des choses bien ou mauvaises, déformées et reconstruites… On finit nous-même par ne plus savoir le vrai du faux. On s’est posé des tas de questions. Après toutes ces conversations et beaucoup de larmes, on a compris qu’on s’aimait. Entre vous et moi, en termes de télé, ça serait encore plus énorme de regarder nos vies parallèles séparées avec les enfants, tous les deux célibataires. On serait encore plus forts si on n’était pas ensemble.
Les produits sponsorisés par les influenceurs font l’objet de critiques car ils s’avèrent parfois de mauvaise qualité ou être carrément des arnaques. Etes-vous vigilants par rapport à cela ?
J : Je vais être très honnête alors que personne ne le sera dans le milieu, parce que tout le monde ne fait que mentir : non, on ne l’est pas. Tout simplement parce que s’il y a des agences de communication telles que We Events, Shauna Events… Elles prennent 25% sur nos cachets et leur travail est de prendre des marques, vérifier que les produits sont bons, que les sites sont aux normes, qu’il n’y a pas de problème, qu’il y a bien un stock…
Laurent : Les agences ont des avocats et des huissiers pour tout vérifier… Ce sont eux qui ne nous ont pas assez protégés. Ils sont censés faire barrière.
J : Pour moi, c’est la faute des agences et non des influenceurs.
Vous avez un style de vie grandiose. Vous verriez-vous reprendre un quotidien "normal" ?
L : Très honnêtement, non. Cela dit, on passe aussi beaucoup de moments simples de la vie normale. C’est juste qu’au lieu de prendre un avion, on prend un jet. On a des voitures de luxe… mais en vrai dans notre intimité, on est normaux.
J : La facilité de notre vie aujourd’hui est de pouvoir se dire que demain on part en vacances en famille [qu’ils comptent agrandir en adoptant, ndlr !], que nos enfants peuvent aller dans la plus belle école, ils peuvent faire toutes les activités périscolaires qu’ils souhaitent… En ce sens, je ne me verrais pas renoncer à tout ça.
Eprouvez-vous un regret dans votre parcours ?
J : J’ai parfois agi avec impulsivité sur les réseaux sociaux et dit ce que je pense alors que j’aurais pu très bien le garder pour moi. En donnant mon avis, je me rends pas compte que je peux heurter d’autres personnes, et vice-versa. Le monde ne sera jamais en accord avec mon idée, comme je ne serai jamais en accord avec l’idée du monde. C’est ma leçon de l’année !
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