"Il a été violent avec des amis à moi" : Gilles Verdez clashe violemment Gilles Favard sur le plateau de TPMP

Gilles Verdez et Gilles Favard se sont durablement écharpés face aux chroniqueurs de Touche pas à mon poste, et face au public, laissant ainsi éclater leur rivalité de longue date.

Jeudi 12 mai, Cyril Hanouna a invité Gilles Favard sur le plateau de Touche pas à mon poste, pour évoquer avec lui les chants irrespectueux des supporters niçois sur Emiliano Sala, le footballeur de l’équipe de Nantes brutalement décédé dans un accident d’avion.

Gilles Verdez à propos de Gilles Favard  : "Il m’a mis sur des listes noires"

Sur le plateau de Touche pas à mon poste, le consultant invité a déploré ces chants insultants et le manque d’empathie de certains supporters sans limites. Alors qu’il dénonçait l’inaction de Patrice Prévot face à ces outrages, Gilles Verdez est intervenu pour défendre le président du stade niçois visé par l’invité. Le chroniqueur a accusé l’invité de mettre tous les supporters niçois dans le même panier.

Cette intervention a mis le feu aux poudres, déclenchant la colère des deux hommes et ravivant une rivalité vieille de plusieurs années : "Je connais votre discours, ça fait longtemps que je le pratique", a balancé Gilles Favard à son interlocuteur. Gilles Verdez a, en retour, évoqué plusieurs "antécédents" concernant son interlocuteur : "Il m’a empêché de travailler, il m’a mis sur des listes noires. Il a été violent avec des amis et des collègues à moi, il les a longuement bousculé voire injurié", a déballé le chroniqueur sur le plateau de TPMP.

Gilles Verdez : "Benaïm, ne vous mêlez pas de ça"

Gilles Verdez et Gilles Favard ont continué à se clasher devant des chroniqueurs stupéfaits. Lorsque Valérie Bénaïm a essayé d’avoir plus d’informations sur le passif entre les deux hommes, son collègue visiblement énervé a balayé sa question d’un revers de main : "Benaïm, ne vous mêlez pas de ça. Il y a des choses à dire", lui a-t-il répondu.

Plus tard, Gilles Verdez a pris à parti son interlocuteur, lui rappelant qu’il avait déjà été mis à l’écart de plusieurs programmes, et boycotté à de nombreuses reprises. Face à ces accusations, Gilles Favard a souhaité se justifier : "La première fois que j’ai été mis à l’index de l’antenne, c’est parce que  lorsque Hiroki Sakai est arrivé à Marseille, j’ai dit ‘ils ont pris un vendeur de sushis à droite’. La deuxième fois, c’est parce que j’ai dit à un chroniqueur que s’il continuait, il allait prendre une tarte dans la gueule", a relaté le consultant à propos de ses menaces à l’encontre de Yoann Riou. Gilles Favard a vu son témoignage appuyé par Cyril Hanouna

"La troisième fois, pendant le championnat d’Europe (…) j’ai dit que les Belges allaient être battus, et qu’ils allaient rentrer chez eux manger des frites", a terminé Gilles Favard, qui a continué à s’accrocher pendant de longues minutes avec Gilles Verdez, sous le regard hilare de Cyril Hanouna et du reste du plateau.

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