Ce vendredi 22 janvier, alors qu’elle présentait sa chronique dans Quotidien, Maïa Mazaurette a commencé à faire des avances un brin osées au chroniqueur Marc Beaugé, qui s’est retrouvé tout gêné. De quoi provoquer un fou rire sur le plateau.
Il ne s’attendait pas à ce qu’elle se serve de lui comme exemple ! Deux soirs par semaine, la journaliste et essayiste féministe Maïa Mazaurette présente dans Quotidien, sa chronique La Zone Mazaurette dans laquelle elle s’intéresse aux nouveaux comportements amoureux. Il y est donc souvent question de sujets olé olé qu’elle se permet parfois d’illustrer en prenant pour exemple d’autres membres de l’équipe présents autour de la table. Et ce vendredi 22 janvier c’est le chroniqueur mode de l’émission de Yann Barthès, Marc Beaugé qui en a fait les frais. Pour répondre à la question d’une téléspectatrice qui lui demandait comment oser prendre des initiatives sexuelles dans son couple, la journaliste lui a directement montré comment s’y prendre en relevant l’exercice auprès de Marc Beaugé : "Marc est-ce que je peux t’enlever ta cravate" lui a-t-elle alors demandé sérieusement avant de continuer avec des propositions encore plus coquines : "Après est-ce que je peux te bander les yeux avec cette cravate, est-ce que je peux t’attacher avec cette cravate". De quoi surprendre l’expert mode, tout de suite très gêné, qui ne s’attendait pas du tout à recevoir de telles avances et qui s’est alors mis à bafouiller et à rigoler face à une Maïa Mazaurette à fond dans son personnage. "Je ne sais pas quoi dire" lui a-t-il alors répondu. Sur le plateau, le malaise était palpable si bien que tout le monde est resté silencieux avant finalement d’éclater de rire, Maïa Mazaurette, la première, pas peu fière de sa petite plaisanterie.
Maia Mazaurette une habituée des malaises ?
Ce n’est pas la première fois que Maïa Mazaurette crée le malaise sur le plateau de Quotidien. La dernière fois c’était face à Jonathan Cohen et Marina Foïs, venus faire la promotion de la comédie Enorme. La chroniqueuse s’était alors lancée dans une analyse juridique de leur film. Elle avait notamment soulevé que lorsque le personnage principal du film commettait une entrave à l’IVG, il s’agissait en fait d’un crime qui en France est passible de 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende. Surpris et gênés, les deux acteurs étaient alors restés silencieux, ne sachant plus quoi lui répondre. La chroniqueuse s’était alors rattrapé en essayant de détendre l’atmosphère avec un peu d’humour.
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