Après avoir renoncé à toute action en justice, David Hallyday fait l’impasse sur l’héritage et répond à Laeticia Hallyday.
Quelques jours après avoir annoncé se retirer de toute action en justice, David Hallyday confirme via son avocat Pierre-Jean Douvier que l’accord obtenu entre Laeticia Hallyday et Laura Smet lui suffit et qu’il renonce « à la succession de son père, Jean-Philippe Smet (…) financièrement » et « patrimonialement« . Le chanteur a également tenu à faire savoir que contrairement aux dires de Laeticia Hallyday, il n’aurait pas été sollicité pour toucher les droits d’interprète de l’album Sans pour sang qu’il avait déjà décliné à l’époque. « David étant déjà auteur-compositeur de cet album et de ce titre, il n’a pas souhaité recevoir les droits d’artiste interprète. Les droits éditoriaux appartiennent à Universal, qui ne l’a pas contacté pour un tel don« .
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Les accusations de mensonge s’accumulent, donc, pour Laeticia Hallyday, dans le cadre de cette affaire d’héritage. La mère de Jade et Joy, dans son interview donné à Paris Match paru le 16 juillet dernier, assure à plusieurs reprises avoir contacté Laura et David. Ce dernier vient de réfuter ces propos, déjà démentis par Laura Smet sur RTL : « Ça ne m’étonne pas d’elle… Excusez-moi, mais il n’y a pas eu de promesse. Il n’y a pas eu de mot. On ne s’est jamais parlé. (…) pendant plus d’un mois, j’ai fait plusieurs tentativrs pour entrer en relation avec Laeticia, mais je n’ai jamais eu de réponse de sa part. Je n’ai pas pu avoir accès à quoi que ce soit qui venait de la femme de mon père« .
Lors de cette longue interview, Laura Smet avait fait de nombreuses révélations concernant Laeticia Hallyday. La plus saisissante concerne évidemment les circonstances de la mort du rockeur : « La dernière phrase qu’il m’a dite, c’est ‘à samedi, ma chérie’. Le samedi je suis venue, j’ai reçu un SMS du portable de mon père alors qu’il dormait… Enfin vous voyez, c’est de la manipulation à haute dose. (…) Il n’y aura jamais de paix possible à partir du moment où elle a franchi la ligne qui est de nous empêcher de dire au revoir à notre père. J’étais avec ma mère (Nathalie Baye, ndlr) ce jour-là. On a attendu quatre heures dans le salon pour qu’on puisse dire au revoir à mon père parce que je savais que c’était imminent. Ce que je sais aussi, c’est qu’on a pas dit à mon père qu’il était en soins palliatifs et comme il était toujours sous traitement. Mon père ne savait pas qu’il allait mourir« .
Nicolas Perron
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