Cruella : une œuvre efficace qui joue la carte de l’anticonformisme… Pourquoi il ne faut pas manquer ce Disney !

Disney redonne un nouveau souffle à son personnage iconique de Cruella avec un film original (au cinéma ce 23 juin), en prises de vues réelles, qui retrace les premiers coups d’éclat de l’exubérante méchante des 101 Dalmatiens (1961).

Dans le Londres des années 1970, pour mettre fin à une vie de délinquance, Estella (Emma Stone), 25 ans et orpheline, accepte un emploi à Liberty, l’un des magasins les plus prisés de la ville. Son but ? Être remarquée pour ses talents de créatrice de mode. Un soir, la jeune femme, qui cache une étonnante chevelure noire et blanche, réaménage sans autorisation l’une des vitrines de l’enseigne. Un acte qui attise la curiosité de la Baronne (Emma Thompson), icône impitoyable de la haute couture. D’abord flattée, Estella va vite découvrir un mystérieux lien entre la Baronne et sa propre mère, disparue tragiquement. Prête à sortir les crocs, Estella imagine alors le personnage de Cruella, son double machiavélique, pour détrôner celle qui ne lui dit pas toute la vérité…

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VIDÉO SUIVANTE

Une aventure encore jamais vue

Après Aladdin (2019) et Mulan (2020), adaptations de classiques animés en prises de vues réelles, et le succès des deux films Maléfique (sortis en 2014 et 2019) sur les origines de la sorcière de La Belle au bois dormant, les studios Disney dépoussièrent cette fois la méchante emblématique des 101 Dalmatiens (1961) avec un blockbuster explosif. Délicieusement rock’n’roll, cette œuvre originale, signée du réalisateur Craig Gillespie (Moi, Tonya), s’émancipe du célèbre dessin animé et retrace avec fougue l’enfance contrariée, suivie des premiers coups d’éclat de l’exubérante Cruella d’Enfer. Un pari osé puisqu’il s’agit de rivaliser avec la géniale interprétation de Glenn Glose, qui donnait déjà vie sur grand écran – à la fin des années 1990 – à la diabolique kidnappeuse de dalmatiens, sans toutefois raconter son passé.

Un duo d’actrices au sommet

Dans le rôle-titre, Emma Stone – lauréate d’un oscar pour La La Land (2017) – est renversante. La comédienne se livre avec précision à un étincelant jeu de dupes, tantôt dans la peau de la délicate Estella, tantôt en délirante Cruella. Face à elle, Emma Thompson est fascinante en prêtresse de la mode, redoutable et égocentrique. En plus de sa qualité de jeu, ce film – qui rappelle aussi Le Diable s’habille en Prada (2006) – dévoile une jolie direction artistique : maquillages et costumes fabuleux, bande-son aux influences punk, pas d’excès d’effets visuels… sauf pour les chiens du film qui n’ont, ainsi, pas été malmenés ! En bref, une œuvre efficace et qui joue habilement la carte de l’anticonformisme.

Cruella, au cinéma ce 23 juin

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