Caroline Roux inaugure L’Invité de C dans l’air, du lundi au vendredi à 17h30 sur France 5. La journaliste politique nous parle avec sérénité et enthousiasme des nouveautés de sa rentrée.
Comment se présente votre rentrée ?
Caroline Roux : De manière dense puisque j’installe un nouveau rendez-vous quotidien, L’Invité de C dans l’air, dans lequel on reçoit une personnalité en prise directe avec l’information du jour. Il y aura aussi plusieurs spéciales de C dans l’air sur le modèle de ce qu’on a fait l’an dernier. Et je récupère L’Émission politique, à la place de Léa Salamé.
Est-ce un crève-cœur de quitter Télématin ?
J’y ai fait un gros quinquennat, j’ai adoré ce rendez-vous et l’équipe. Je me suis contrainte à arrêter car se lever le matin à 5 h 30, c’est assez épuisant. Il fallait que je change de rythme.
Comment vous préparez-vous à cet emploi du temps chargé ?
Je prends des vacances ! Je déconnecte totalement, je suis avec ma famille, en Grèce. Je lis très peu la presse. Je fais une coupure volontairement pour essayer de reprendre un peu de souffle. Et je mets à distance mon téléphone portable.
Comment vous organisez-vous entre famille et travail ?
J’ai la chance d’avoir des enfants qui sont très autonomes. De temps en temps, on fait un point, je leur demande si ça va, s’ils m’acceptent toujours comme maman ! Je m’organise et j’ai la chance d’être aidée.
On sent un soutien indéfectible de votre compagnon (directeur de Facebook France, ndlr), sur les réseaux sociaux notamment, est-ce le secret de votre énergie ?
C’est le secret de mon bonheur !
Quelle interview vous a particulièrement marquée ?
Celle que je retiens à ce stade est celle du président de la République le 14 juillet. Il y avait une tension, une concentration particulière. J’adore le 14 Juillet, je trouve que c’est un moment de rassemblement dans le pays.
Emmanuel Macron vous a un peu rabrouée lorsque vous l’avez interrogé sur la polémique des Uber Files…
Il ne m’a pas rabrouée, chacun était dans son rôle ! J’ai posé la question à dessein de manière un peu ferme et lui a répondu à dessein de manière assez ferme aussi. C’est le principe d’une interview ; s’il ne se passe rien, tout le monde s’ennuie. J’ai aimé car c’était un moment de sincérité de sa part et de notre part, avec Anne-Claire Coudray.
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