Dès les premières minutes du deuxième épisode de "Mariés au premier regard", diffusé ce lundi 15 mars 2021, les internautes ont fait part de leur étonnement sur les réseaux sociaux. Les téléspectateurs ont en effet decelé une alchimie (un brin tirée par les cheveux) entre deux protagonatistes…
Ce lundi 15 mars 2021, M6 diffusait le deuxième épisode de la cinquième saison de « Mariés au premier regard ». Un épisode qui s’est ouvert sur l’arrivée d’Alain au sein de la mairie de Grans. Le jeune papa célibataire de 41 ans a décidé de faire confiance à la science… qui lui a trouvé une femme répondant au nom de Cécile, agent commercial en immobilier de 41 ans, compatible avec lui à 77 %.
En attendant son éventuelle future épouse, Alain a pu faire connaissance dans la mairie, avec ses proches. Il a donc rencontré Anissa, la fille de 18 ans de Cécile. Si cette dernière était plus réfractaire à l’idée de voir sa mère se marier avec un inconnu, la jeune femme a littéralement « validé » son beau-père au premier regard ! Elle n’a en effet pas manqué de le dévisager pour tenter de cerner en quelques secondes, celui qui s’apprêtait à épouser sa mère dans les minutes à suivre.
« Draguer la fille pour avoir la mère »
En voulant briser la glace, Alain a décidé de complimenter Anissa avec délicatesse : « Si la maman est assez jolie que la fille… » a-t-il lancé avec beaucoup de gentillesse. « Très joli prénom aussi » a-t-il ensuite ajouté en découvrant le patronyme de sa future belle-fille. Mais cette séquence plutôt mignonne a littéralement choqué les internautes qui se sont empressés de la commenter sur Twitter.
« Je suis un peu mal à l’aise quand même », « Anissa comment elle regarde son futur beau-père ? », « Alain il est venu pour la mère ou la fille ? À mon avis, la fille veut qu’il fasse coup double ! », « Draguer la fille pour avoir la mère, Tactique de slovène, tu connais », « Remarques malaisantes du quarantenaire à une jeune fille de 18 ans… », « Alain il va finir avec Anissa, c’est quoi le bail ? », « Il va se taper les deux à ce rythme »,
Aliénor de la Fontaine
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