Gilles Lellouche : "Maintenant, ça ne s’en va pas", ce qu’il a fait subir à son corps et qu’il regrette amèrement !

De passage dans l’émission "Les rencontres du papotin" le 3 septembre dernier sur France 2, Gilles Lellouche s’est confié sur ce qu’il a fait subir à son corps par le passé et qu’il regrette amèrement aujourd’hui à 50 ans.

Le 3 septembre dernier, France 2 lançait sa nouvelle émission « Les rencontres du papotin », un rendez-vous initié par des personnes porteuses de troubles autistiques qui interviewent des personnalités. Pour cette première édition, Gilles Lellouche était l’invité spécial dans le cadre de son prochain film « Kompromat » dont la sortie en salle est prévue pour le 7 septembre prochain. L’acteur de 50 ans s’est notamment confié sur ce qu’il a fait subir à son corps et qu’il regrette amèrement aujourd’hui. « Je suis tatoué parce que je suis bête », a-t-il lancé, avant d’ajouter : « J’ai fait un pari avec un copain. C’était en Californie, à Los Angeles. Je me suis fait tatoué pour des bêtises et maintenant ça ne s’en va pas.C’est nul. » 

Mais s’il regrette ce pari, il porte un autre tatouage dont il est fier sur son bras gauche. « C’est le prénom de ma fille, Ava », a-t-il expliqué en le montrant. Celui qui a été affiché en petite tenue pour ses 50 ans le 5 juillet dernier par Guillaume Canet a ensuite fini par révéler celui qu’il regrette sur son bras droit et en a expliqué la signification : « C’est nul parce que c’est le logo d’un film qui s’appelle ‘Le Parrain’. Déjà le tatouage, ce n’est pas génial mais faire ça, c’est encore plus nul ».

Ce n’est pas la première fois que Gilles Lellouche se dévoile ainsi. Le 1er septembre dernier, sur le plateau de « C à vous », l’acteur disait tout de son rôle dans « Kompromat ». « C’est un type qui travaille pour l’alliance française qui s’occupe d’organiser toute la vie culturelle d’une ville », a-t-il d’abord expliqué au sujet de son personnage. « Et puis un soir il a le malheur d’inviter un chorégraphe gay qui fait un spectacle à caractère homosexuel qui ne plaît absolument pas aux oligarques qui financent le spectacle. Et donc tout le monde quitte la salle plus ou moins. Ensuite il va danser un peu trop près avec la fille qui est la fille d’un ex-agent du KGB nouvellement FSB. Et là, il décide de l’éliminer et le mettre hors d’état de nuire parce qu’il trimballe trop de valeurs occidentales parce que voilà tout ça ne leur plaît pas », a-t-il poursuivi.

Laure Bertrand

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