Christophe Willem dévoile les dessous de sa rencontre avec Slimane et l’énorme cadeau qu’il lui a fait : coup de foudre amical et artistique immédiat !

À l’occasion de la sortie de son album "Panorama" ce vendredi 16 septembre, Christophe Willem s’est confié lors d’un entretien accordé au Parisien sur sa rencontre avec Slimane.

Christophe Willem et Slimane ? C’est la nouvelle amitié qui fait du bien et dont l’ancien vainqueur de la « Nouvelle Star » a raconté les prémisses lors d’un entretien accordé au Parisien paru ce vendredi 16 septembre. Christophe Willem, qui sort son nouvel album « Panorama » aujourd’hui, fait partie depuis peu de la bande des Enfoirés et c’est comme ça qu’il a fait la rencontre de l’acolyte de Vitaa. « J’ai beaucoup discuté avec Slimane, je lui ai parlé de changer de métier, pourquoi pas devenir architecte… », commence par déclarer Christophe Willem. Avant de poursuivre : « Il m’a dit que je lui avais donné envie de devenir chanteur, il a trouvé très violent qu’on ait encore un problème de confiance après autant d’années. »Un coup de foudre amical et artistique immédiat que Slimane a honoré en faisait un énorme cadeau à Christophe Willem. « De là, il m’a écrit ‘PS : Je t’aime’, qui est un message adressé au public, comme ‘Je tourne en rond’ et ‘Au temps pour nous’ », a-t-il confié.

Depuis ses débuts dans la « Nouvelle Star » en 2006, Christophe Willem a beaucoup changé, physiquement. Lors d’un récent entretien accordé à Voici, il confie être passé par la case bistouri pour corriger quelques complexes. « Moi, j’ai fait des implants, fait rectifier une bosse sur mon nez, redressé mes dents, mais pas de Botox ou autres trucs du genre », a-t-il expliqué à nos confrères. « Pour le physique, on partait de tellement loin que, grâce à Dieu, ça ne pouvait que s’améliorer avec le temps, a-t-il déclaré. Quand tu démarres très laid, il faut vraiment un gros coup de lose pour que ça empire ». Des complexes apparus très jeune, dans la cour de l’école. « A l’école, j’étais stigmatisé, comme le vilain petit canard ou le gros pédé de la cour. Mon succès avait effacé ça, je me sentais porté par le regard du public. Tu crois à tort que cet amour des gens va guérir un amour-propre qui a été fracassé. C’est faux. Donc au moindre échec, tu descends encore plus bas qu’avant », a-t-il déploré.

Laure Bertrand

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