Depuis 1982, le joaillier danois s’exerce à accompagner les femmes au quotidien. Quelques charms iconiques plus tard, voilà qu’il rythme ses écrins de lignes plus épurées, d’une nouvelle signature.
On les connaît du Danemark, de France et de Navarre. Si vous ne les collectionnez pas, combien de fois votre regard a-t-il croisé les iconiques bijoux charms clipsés sur les bracelets câbles de Pandora? Deux décennies ont passé et les breloques fabriquées à la main, à accumuler de façons aussi uniques que ceux qui les portent, gagnent encore du terrain.
« Pandora est un conteur d’histoires, expliquent A. Filippo Ficarelli et Francesco Terzo. Arrivé en 2017 après un passage dans la mode, le duo italien, aux manettes artistiques de la marque, veille aux succès de demain d’un nom mondialement connu. C’est l’émotion que procure un bijou, le lien qu’il crée entre style et personnalité qui nous animent tant. »
Une nouvelle collection minimaliste et féminine
La mode dans le viseur, les créatifs s’abstiennent des us et coutumes de la joaillerie traditionnelle pour écrire la suite de l’histoire, fins observateurs de leur clientèle grandissante. « Chaque composition de bracelet est toujours une heureuse interprétation de l’ADN de Pandora et ne cesse de nous inspirer, ajoute A. Filippo Ficarelli. Plus qu’une icône de style, qu’une Madonna ou une Frida Kahlo, notre clientèle nourrit notre créativité. Nous rencontrons quotidiennement de plus grands collectionneurs que nous (rires). »
Mais le succès de ces charms peut être aussi lourd à porter qu’il est excitant à cultiver. «Pandora n’est pas qu’une marque de charms, précise Francesco Terzo. C’est une partie majeure de notre business, nous en sommes très fiers, mais prenons autant de plaisir à l’agrémenter d’autres lignes comme Signature, une approche épurée proposée aussi en version tout or, davantage mode et minimaliste, ou les chaînes perlées Pandora Me, imaginées sans distinction de genre. Nous œuvrons en studio et en atelier pour que Pandora s’adresse au plus grand nombre. »
A commencer par la jeune génération – la fameuse – « la plus informée, celle qu’on ne peut pas duper, qui veut tout connaître de notre ADN, reprend A. Filippo Ficarelli. Une communauté qui s’exprime pour incarner son temps. Des valeurs qui nous unissent grandement. »
Puis par les collaborations avec le cinéma (Marvel, Disney…) et l’art. Récemment le joaillier du streetstyle rencontrait le king du street art Keith Haring sur 14 bijoux et charms créatifs et décalés. « Notre créativité et notre curiosité sont contagieuses. En mêlant nos mains à celles d’autres univers, nous touchons des personnes qui n’auraient pas forcément poussé les portes de nos 7 000 boutiques. C’est une chance et bien la raison qui nous pousse à toujours sortir de notre zone de confort pour proposer une joaillerie à supplément d’âme. »
Crédits photos : Pandora
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