Dans son épisode de mercredi 21 octobre, Plus belle la vie a rendu hommage à Samuel Paty, le professeur tué pour avoir montré à ses élèves des caricatures du prophète Mahomet.
Quand Plus belle la vie s’empare de l’actu. Mercredi 21 octobre, les hommages à Samuel Paty se sont succédés tandis que le président de la République et le gouvernement ont honoré à la Sorbonne la mémoire du professeur assassiné après avoir fait un cours sur la liberté d’expression, la laïcité et le droit au blasphème à ses élèves. Et une fois n’est pas coutume, les scénaristes du feuilleton de France 3 ont eux aussi décidé d’utiliser l’actualité, et de rendre hommage à Samuel Paty, dans une scène bouleversante.
Dans cet hommage, on voit Blanche (Cécilia Hornus), le proviseur (Charles Schneider) et Coralie (Coralie Audret) dans la salle des professeurs, défendre la liberté d’expression et la liberté d’instruire. "Le métier de prof n’a jamais été aussi dur mais jamais aussi nécessaire. Merci aux enseignants, merci d’y croire encore. Merci Samuel Paty d’y avoir cru jusqu’au bout", lance ainsi Claude, les larmes aux yeux.
Un hommage bouleversant à Samuel Paty à la Sorbonne
Pour retransmettre l’hommage solennel à Samuel Paty, les chaînes n’ont pas hésité mercredi 21 octobre à bouleverser un peu les programmes, comme N’oubliez pas les paroles qui a été déprogrammée. Après la mort du professeur, des vagues de soutien et d’hommages se sont multipliées à travers la France, si bien que le service publique avait décidé de permettre à ceux qui le voulaient de transmettre des messages à la famille de Samuel Paty ainsi que des hommages, retransmis sur France 2 et les ondes de la radio publique.
Cinq jours après l’horrible assassinat de Samuel Paty, Emmanuel Macron lui a remis la Légion d’honneur à titre posthume et l’a fait commandeur des palmes académiques. Une cérémonie "courte, solennelle et teintée d’une simplicité républicaine", et ce au coeur même de la Sorbonne, "le monument symbolique de l’esprit des Lumières et du rayonnement culturel, littéraire et éducatif de la France", expliquait un conseiller du chef de l’Etat dans les colonnes du Parisien.
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