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Nos petits chéris ne veulent plus de nous comme nounou. Soit. On acte leur demande et surtout, on n’en fait pas toute une histoire.
Nous ne sommes plus au menu des mercredis de nos garnements préférés ? Normal, ils grandissent et s’émancipent. Cela nous serre un peu le cœur mais pas question que cela pollue nos relations, car nous avons encore plein de bons moments à partager.
On exclut le chantage
Comme il serait tentant de nous draper dans notre contrariété et de faire appel à notre bonne vieille logique (comprendre, notre sens des représailles). « Ah vous ne voulez plus de moi le mercredi ? OK. Alors, ne comptez pas non plus sur moi le dimanche pour vous accompagner au stage de poney ou sur ma disponibilité, et mon chéquier, les jours de soldes. » Ce ne serait pas juste. Et puis, peut-être est-ce précisément cette régularité des rendez-vous qui les fatigue. Rassurés de retrouver une certaine liberté, ils seront encore plus demandeurs de retrouvailles impromptues.
On s’abstient de bouder
On ne dit rien mais on n’en pense pas moins. Et cela se voit ! Comment ensuite leur demander de faire des efforts de tenue, de politesse, quand nous nous autorisons à rester enfermée dans une rancœur puérile ? Appliquons donc nos préceptes.
On ne compense pas
Pas question de se jeter sur le premier bambin venu (le rejeton du cousin, celui de la voisine, etc.) pour l’accabler de notre affection et chanter ses louanges à qui veut bien l’entendre sous prétexte que l’on se sent piquée au vif. N’oublions pas, les enfants méritent notre authenticité. Ce ne serait pas réglo d’utiliser le premier venu pour atténuer notre malaise ou les rendre jaloux.
On continue de vivre notre vie
La roue tourne. On passe d’un âge à un autre. Il en va ainsi. L’envol de nos petits chéris doit se faire avec notre assentiment, notre accompagnement même. Inutile de leur montrer que ces bouleversements naturels nous paralysent et nous laissent désœuvrée, scotchés dans le canapé à attendre que le temps passe. Comme si nous n’avions aucune raison d’exister en dehors d’eux… Quel poids ce serait leur faire porter !
Et, non, on ne hurle pas sa joie !
Allons, reconnaissons-le, on éprouve un certain soulagement à nous dispenser de ces mercredis à courir de parcs de loisirs bondés en séances de dessins animés gnangnan. On frôlait l’overdose. Ça fait du bien quand ça s’arrête mais on n’est pas obligée de le crier sur tous les toits.
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