Et si pour mieux comprendre Léa Elui, l’influenceuse la plus suivie de France, il suffisait, d’organiser sa venue à
VIS!ONS ? De multiplier les échanges avec Delphine, sa maman : « Le succès a tout changé mais j’ai la chance d’avoir ma maman qui m’accompagne, nous avouera la jeune fille plus tard. Elle gère la partie business de mon activité, ça m’évite d’avoir à stresser avec ça. »
S’il suffisait de trouver un créneau dans un agenda surchargé pour une conversation téléphonique ? « Pourtant mes journées sont moins chargées depuis que je prépare mon bac à distance. J’étudie mes cours très tôt le matin pour pouvoir commencer à filmer et poster vers 14h et ça me prend toute la journée. » De s’assurer qu’il reste une place dans l’un des rares trains reliant sa petite ville des Alpes à Paris pour la faire venir sur notre scène ? « Je suis restée en Savoie, c’est mon point d’attache », tiendra-t-elle à préciser.
De confronter, le temps d’une discussion, notre regard sombre sur les réseaux sociaux et leurs haters à sa propre expérience : « Ma communauté est bienveillante avec moi, je pense que c’est donnant-donnant. Si on envoie du positif, on en reçoit. Bien sûr, il peut y avoir des comportements négatifs mais j’ai été confrontée à du harcèlement scolaire, en vrai on va dire, alors les commentaires désagréables en ligne ne me touchent pas vraiment. »
De lui demander, suspicieux, ce qu’elle pense vraiment de sa génération. « Il y a énormément de défis qui attendent les gens de mon âge mais je vois les lignes bouger, par exemple sur l’égalité hommes-femmes. Cette génération est intelligente, elle tente énormément de choses alors oui, j’ai de l’espoir. » Et finalement de lui soutirer discrètement son secret pour réunir 10 millions de personnes sur Instagram en à peine deux ans : « un mélange de spontanéité totale, de clichés plus travaillés et… ». La suite est à entendre sur la scène de VIS!ONS
ce mercredi matin.
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