Le grand retour des montres rétro-futuristes des 70's

Hamilton et sa PSR, Girard-Perregaux et sa casquette, Yema et sa montre LED… Ce qui pouvait au départ être pris pour un simple clin d’œil adressé à ces icônes vintage commence à prendre de l’ampleur. L’heure d’un retour vers le futur ?

Lorsque l’on parle du style horloger des seventies, ce sont plus souvent des images de chrono panda ou de cadrans cappuccino, cerclés d’or jaune, qui reviennent en mémoire. C’était sans compter sur un autre temps fort de la décennie, la frénésie autour de l’affichage numérique.

À ce jeu-là, c’est la maison Hamilton qui a tiré son épingle du jeu en osant lancer au début des années 1970 une première montre aux allures de science-fiction, qui forcément avait un coût pour l’époque : la Pulsar. Un ovni immédiatement adopté, par Elvis Presley notamment, mais qui s’est surtout offert son quart d’heure de gloire à l’écran au poignet de Roger Moore dans le James Bond Vivre et Laisser Mourir. Au même moment, Girard Perregaux met en orbite son propre garde-temps, la Casquette, quand Yema lance sa montre LED aux diodes électroluminescentes et hypnotiques.

Montre Casquette Only Watch, 42mm, boîtier en carbone et titane, bracelet en cuir, cadran en LED, Girard Perregaux x Bamford Watch Department pour Only Watch.

Tempo alternatif

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En 2020, le renouveau de la montre Hamilton, baptisée PSR, n’a étonné personne puisque cette dernière célébrait alors ses 50 ans de success story. L’arrivée de la néo Casquette proposée en octobre dernier par Girard-Perregaux et le collectif Bamford pour la vente aux enchères d’Only Watch résonnait déjà comme un indice. Il aura suffi de voir la nouvelle LED aux chiffres rouge incandescent, pensée là aussi à quatre mains par Kavinsky et la maison Yema, et la dernière génération de la montre Hamilton cette semaine pour s’en convaincre. L’heure est aux rêves d’ailleurs.

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