La mini-série qui a cartonné sur TF1 en cette fin d’année 2019, a débarqué sur Netflix le 25 décembre 2019. Elle sera disponible sur la plateforme vidéo pendant quatre ans.
Bonne nouvelle pour les retardataires et les abonnés de Netflix. La mini-série historique "Le bazar de la charité" a débarqué sur la plateforme de vidéos en ligne, depuis le mercredi 25 décembre 2019. Après le succès rencontré sur TF1 entre le 18 novembre et le 5 décembre 2019, Netlfix diffuse à son tour la série incarnée par trois femmes de caractère : Audrey Fleurot, Julie de Bina et Camille Lou, comme le rapporte Le Parisien. L’arrivée du "Bazar de la charité" sur Netflix n’est pas une surprise puisque la plateforme a contribué au budget important de la série, à savoir 2 millions d’euros par épisode.
Netflix a investi dès le début dans le projet. A la lecture du scénario, les équipes de la plateforme ont été complètement emballées par les épisodes. Avec cet accord de pré-financement, Netflix a l’autorisation de diffuser la série dans le monde entier pour une durée de quatre ans. En plus des trois personnages principaux, le jeune acteur Victor Meutelet, s’est montré impressionnant. Véritable révélation, les téléspectateurs n’ont pas fini de le revoir sur les écrans de télévision. Après le succès rencontré sur TF1, les créateurs du "Bazar de la charité" espèrent que les abonnés de Netlfix seront également au rendez-vous. Avec 158 millions d’abonnés dans 190 pays, la diffusion est à grande échelle. Pour rappel, sur TF1, en moyenne, la série avait rassemblé 6,5 millions de téléspectateurs lors des quatre lundis de diffusion sur TF1, et 7,8 millions en incluant le replay.
Vers une saison 2 du Bazar de la charité ?
Alors que les nombreux téléspectateurs réclamaient une saison 2, Alexandre Laurent, le réalisateur de la série, a mis fin aux rumeurs. "On termine la saison 1 sur une fin bouclée. La série s’appelle Le Bazar de la charité. Non, la saison 2 ne servirait à rien. Ce que je peux vous dire c’est qu’on a envie de traiter d’une autre façon le droit de la femme. Mais peut-être à une autre époque". Affaire à suivre donc…
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