Ce mardi 22 mars, Béatrice Rosen a fait part de son choc et son dégoût lorsqu’elle a appris que des centaines d’images pédopornographiques auraient été retrouvées au domicile de Nicolas Jeanneté, le chef de file du parti Les Centristes, interpellé la veille pour des suspicions de trafic de drogues.
Si, à l’heure actuelle il est toujours présumé innocent, Nicolas Jeanneté a déjà été condamné par bon nombre d’internautes et notamment… Béatrice Rosen. En effet, la chroniqueuse de Cyril Hanouna dans « TPMP » a poussé un violent coup de gueule à l’encontre du chef de file du parti Les Centristes ce mardi 21 mars. La raison ? L’interpellation de ce dernier par les forces de l’ordre pour des suspicions de trafic de drogues… mais pas que ! En effet, nos confrères du Parisien nous apprennent également que des centaines d’images pédopornographiques auraient été retrouvées à son domicile lors de la perquisition de celui-ci.
Toujours selon nos confrères, l’homme politique est suspecté de s’être fait livrer « à son domicile des drogues de synthèse comme de la 3MMC ». Un produit qui était inconnu pour beaucoup, mais dont le nom est sorti à de nombreuses reprises depuis le début de l’affaire Pierre Palmade. En effet, cette drogue servirait à accroître le plaisir, dans le cadre sexuel, mais son danger principal est surtout l’addiction qu’elle peut causer.
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Béatrice Rosen « dégoûtée » par Nicolas Jeanneté
Toujours selon le Parisien, Nicolas Jeanneté « revendait ensuite ces substances illicites à ses partenaires de soirées sexuelles ». Une perquisition s’est ensuivie à son domicile « en vue de rechercher des matières stupéfiantes ». Mais la saisie de l’ordinateur de l’élu au Conseil de Paris aurait révélé la détention de centaines de fichiers pédopornographiques. De quoi rendre folle de rage Béatrice Rosen et bon nombre d’internautes. En effet, la chroniqueuse de « TPMP » a crié sa colère sur Twitter.
« Hallucinant. Encore un politique. Trafic de drogue pour chemsex et des centaines d’images… (je ne peux même pas l’écrire)… », a-t-elle déploré sur le réseau social en accompagnant son message d’un émoji ayant envie de vomir. À l’heure actuelle, d’autres supports, qui ont été saisis au moment de la perquisition, sont en cours d’exploitation par la brigade de protection des mineurs. De fait, une seconde enquête judiciaire pourrait être ouverte sous peu, après les découvertes des images pédopornographiques.
R.F
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