À l’occasion de la diffusion du film Hors normes dimanche 16 octobre 2022, à partir de 21h05 sur TF1, Télé Star vous dévoile si le scénario de ce long-métrage est basé sur une histoire qui s’est réellement produite ou pas.
Sorti au cinéma en 2019, le film intitulé Hors normes, porté par Vincent Cassel et Reda Kateb, sera diffusé pour la première fois en clair à la télévision française dimanche 16 octobre 2022, à partir de 21h05 sur TF1. Réalisé par Olivier Nakache et Eric Toledano, ce long-métrage met en scène les personnages de Bruno et Malik, respectivement incarnés par Vincent Cassel et Reda Kateb. Ces derniers sont les responsables de La Voix des Justes et de L’Escale, deux associations qui œuvrent depuis vingt ans dans le monde des enfants et adolescents autistes, qu’ils aident de leur mieux. Ils forment également des jeunes issus de quartiers difficiles pour encadrer ces cas "complexes" que les structures médicales refusent.
L’association de Bruno est cependant dans le viseur de l’Inspection générale des affaires sociales, qui lui reproche d’employer du personnel non diplômé. Bruno s’est notamment fixé comme objectif l’insertion professionnelle de Joseph, un jeune autiste passionné par les machines à laver, mais qui a régulièrement des problèmes avec les agents de la RATP et la SNCF, car il ne peut s’empêcher d’actionner le bouton d’arrêt d’urgence du métro. Il réussit à lui trouver un stage en entreprise, mais le chef d’entreprise ne peut pas le garder en raison de son attitude trop familière avec Brigitte, une des employées de l’atelier. Bruno accepte également de s’occuper de Valentin, un jeune aux troubles sévères, qui doit notamment porter un casque en permanence pour lui éviter de se blesser lorsqu’il se tape la tête contre les murs. Valentin finit par fuguer, et se retrouve en danger alors qu’il marche sur le boulevard périphérique parisien, où il est récupéré in extremis.
Hors normes : toutes les scènes du film se sont produites dans la réalité
L’histoire et les personnages de Vincent Cassel et de Reda Kateb sont inspirés du travail de deux éducateurs s’occupant des personnes autistes, ainsi que de leurs associations existantes : le Silence des Justes (dans le film : la Voix des Justes) et le Relais Île-de-France. Les scènes du film ont toutes été vécues dans la réalité, et les réalisateurs ont fait jouer de vrais encadrants et de vrais autistes dans le film, qui mêle réalité et fiction. Olivier Nakache explique que : "C’était impensable qu’on ait des acteurs qui jouent des jeunes en situation d’autisme".
Source: Lire L’Article Complet