De la recherche Google en réalité augmentée à la protection des données en tout digital, zoom sur ces nouvelles techniques de pointe qui propulsent l’horlogerie vers un futur, bien éloigné de leurs codes traditionnels.
Encore impensable il y a quelques années pour ces manufactures en vue, dont le savoir-faire artisanal en mécanique horlogère vient d’être inscrit à l’UNESCO, la high-tech trône désormais en bonne place dans les budgets en recherche et développement. Si les différentes prouesses réalisées en matière de montres connectées depuis cinq ans viennent immédiatement à l’esprit, il en est d’autres, encore plus complexes que l’on se doit dorénavant de prendre en compte lors de tout achat.
Avenir horloger
La e-garantie de Hublot.
D’un côté, l’innovant Hublot qui rend hommage à l’audace créative inscrite dans son héritage en lançant il y a quelques semaines la dématérialisation de sa carte garantie. Dans les faits, il suffit de scanner sa montre pour obtenir sur son mobile une reconnaissance visuelle du modèle, ainsi que de toutes ses data stockées dans la blockchain. « C’est un passeport et une garantie éléctroniques s’apparentant à une reconnaissance faciale fondée sur l’unicité des matériaux qui composent ses montres. Une technologie avancée qui a nécessité plus de trois ans de recherche et développement en partenariat avec la société KerQuest. », précise Ricardo Guadalupe, le PDG de Hublot. Plus surprenant, la manufacture Jaeger-LeCoultre qui se prête aussi, du haut de ses 187 ans, au jeu du digital avec une nouvelle option en réalité augmentée qui s’active lorsque l’on recherche la Master Control Chronograph sur Google via son mobile pour mieux visualiser toutes les coutures. Une découverte dévelopée grâce au partenariat entre Richemont, YNAP Group et Google pour réinventer l’expérience produit et peut-être, attirer de nouveaux clients plus connectés.
La montre Master Control Chronograph Calendar de Jaeger-LeCoultre en action.
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