La petite-fille de la reine Elizabeth II vient de se faire retirer le permis de conduire à la suite d’un excès de vitesse de presque 40 km/h. Une suspension de permis qui risque d’écorner l’image de Zara Tindall, mais aussi de lui faire perdre son statut d’ambassadrice chez Land Rover.
Un scandale de plus qui risque d’entacher la couronne britannique ? La petite-fille de la reine Elizabeth II, Zara Tindall, a été condamnée pour un excès de vitesse à Cheltenham, dans le comté du Gloucestershire. Selon le Daily Mail, la fille de la princesse Anne a été arrêtée en novembre 2019 conduisant à 91 miles/heure (146 kilomètres/heure) au lieu des 70 miles autorisés (environ 112 km/heure). Quelques mois après, le 8 janvier 2020, Zara s’est fait retirer son permis de conduire pour une durée de six mois. Actuellement en Australie, elle n’a pas pu comparaître devant le tribunal, mais elle avait plaidé coupable des faits qui lui étaient reprochés.
Ce n’est pas tout ! L’épouse de Mike Tindall a également écopé d’une amende de 666 livres Sterling (soit 783,87 euros) ainsi que d’une amende compensatoire de 151 livres Sterling (177 euros) selon Roger Utley, président de la magistrature de Cheltenham. Sentence assez gênante pour cette digne représentante de la famille royale britannique, d’autant que Zara est l’ambassadrice de la marque de véhicules Land Rover depuis 2006. Heureusement, la marque ne semble pas lui tenir rigueur de ce petit écart de conduite puisqu’un porte-parole de la marque aurait déclaré au Daily Mail : « Bien que Land Rover ne tolère aucune forme d’excès de vitesse, Land Rover continuera son association avec Zara Tindall en tant qu’ambassadrice.«
La petite-fille du Prince Philip avait déjà neuf points de pénalités sur son permis de conduire pour d’autres infractions (en Angleterre, les infractions entraînent l’ajout de points et non le retrait comme en France). Cette infraction lui a ajouté quatre points d’infraction, la faisant dépasser la limite autorisée de douze points. Une autre petite anecdote (à oublier) pour celle qu’on surnommait déjà la « Royal Rebel« .
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