Alina Kabaeva, la maîtresse cachée de Vladimir Poutine, est depuis quelques jours la cible de vives critiques. Prétendument en Suisse, l’ex-championne de gymnastique fait l’objet d’une pétition à son encontre pour qu’on la renvoie du pays, comme l’a rapporté le média allemand « Bild ».
Si Vladimir Poutine ne se prive pas d’afficher ses frasques guerrières alors qu’il mène depuis vingt-quatre jours une violente offensive contre l’Ukraine, le dirigeant est moins loquace sur sa vie privée. Les regards sont pourtant dirigés depuis peu vers sa compagne de l’ombre, Alina Kabaeva, supposée mère de trois de ses enfants. Selon le portail américain Page Six, et comme l’a rapporté le média germanique Bild le 3 mars, l’ancienne sportive de haut niveau se cacherait dans un chalet fortement surveillé dans les Alpes suisses. Un refuge qui a fait l’objet d’une pétition sur la plateforme Change.org pour demander l’expulsion de la proche de Vladimir Poutine du pays. Début mars, le document initié par des Ukrainiens, des Biélorusses et des Russes, avait déjà récolté 47 705 signatures, comme l’ont indiqué nos confrères.
Il y a une semaine, une autre pétition diffusée sur la même plateforme, mais avec moins de signataires, avait quant à elle fait appel au retrait des titres olympiques de l’ancienne championne de gymnastique : “Alina Kabaeva, une athlète olympique décorée, devrait être déchue de TOUS ses titres et médailles olympiques en raison de sa complicité dans le soutien d’un criminel de guerre, d’un meurtrier et d’un tyran qui a délibérément assassiné des hommes, des femmes et des enfants ukrainiens innocents, alors qu’elle vit prétendument en sécurité sur le sol démocratique”, peut-on lire en anglais sur le site.
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Aline Kabaeva : un quotidien fastueux ?
Après sa carrière dans le milieu sportif, la maîtresse de Vladimir Poutine a pris les rênes d’un grand groupe médiatique russe. Comme l’ont indiqué nos confrères du Daily Mail le 16 mars, Alina Kabaeva gagnerait 7,5 millions de livres sterling par an, soir près de 9 millions d’euros. Une coquette somme qui lui permettrait, entre autres, de couvrir ses virées shopping dans des boutiques haut de gamme à Lugano, ville suisse frontalière avec la Botte.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : ITAR TASS / BESTIMAGE
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