Invitée sur le plateau de C à Vous pour présenter son dernier film baptisé ADN ce mardi 27 octobre, Maïwenn a brièvement disputé Antoine Genton, jugeant qu’il en avait trop dit sur son long-métrage.
Ce mardi 27 octobre, Maïwenn était de passage dans C à Vous, émission diffusée sur France 5, afin de présenter son dernier long-métrage – attendu en salles ce mercredi 28 octobre – baptisé ADN. C’est alors que la réalisatrice et comédienne a recadré Antoine Genton, jugeant que ce dernier, qui souhaitait résumer le film en peu de mots, a glissé trop de détails aux téléspectateurs. « Mais il ne faut pas le dire ! Vous avez spoilé« , a-t-elle déploré, le visage dur face à Anne-Elisabeth Lemoine dissimulant son hilarité derrière une carte la guidant dans la présentation de son émission. « C’est de ma faute », a-t-elle justifié, entre deux rires.
Le chroniqueur, de son côté a tenté, tant bien que mal, de se défendre, les mains en l’air. « Regardez, je n’ai rien dit d’autre », a-t-il lancé. Dans ADN, Maïwenn se glisse dans la peau d’une jeune femme prénommée Neige en proie à une importante crise identitaire. Ainsi, la protagoniste se décide à subir des analyses génétiques dont le résultat la déstabilise, elle qui voyait en son grand-père algérien un véritable roc face à la toxicité de ses parents. Si Antoine Genton a souhaité détendre l’atmosphère, le mal était fait. Lorsque le journaliste a questionné la réalisatrice de Polisse sur les résultats du test d’ADN de Neige, cette dernière a répondu d’un air défaitiste, mais non sans sourire. « Non, c’est ceux du film. » Un échange pour lequel Anne-Elisabeth Lemoine s’est ensuite excusée : « Pardon, on s’est emballé. C’est parce qu’on a aimé le film. »
Une anti-féministe qui s’assume
Le franc-parler de Maïwenn a encore frappé. Car, récemment, la cinéaste de 44 ans s’est attirée les foudres de certains lecteurs du magazine Paris Match, entre autres anonymes, après avoir dit tout haut ce qu’elle pensait du féminisme, ou encore de la triple victoire de Roman Polanski à la 45ème édition des César, au mois de février 2020. Triomphe vivement contesté, notamment par Adèle Haenel qui avait quitté la salle Pleyel avec fracas. « Ce sont des femmes qui n’aiment pas les hommes, c’est clair, qui sont à l’origine de dommages collatéraux très graves », disait-elle, avant d’affirmer que, à l’image de Catherine Deneuve et 99 autres femmes ayant signé une tribune défendant la liberté d’importuner, le harcèlement de rue est, avant tout, « un compliment. » Des propos cashs qu’elle réitérait auprès de nos confrères de Madame Figaro, ce vendredi 23 octobre.
Crédits photos : Capture France 5
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