Ce dimanche 4 décembre, le député Nicolas Dupont-Aignan était l’invité du Grand Rendez-vous sur CNews et Europe 1. Au micro de Sonia Mabrouk, le président du mouvement Debout la France a fulminé contre la politique énergétique du Gouvernement.
Ce dimanche 4 décembre, le député Nicolas Dupont-Aignan était l’invité du Grand Rendez-vous sur CNews et Europe 1. Interrogé sur la politique énergétique du gouvernement, le président du mouvement Debout la France n’a pas mâché ses mots et a lourdement taclé Emmanuel Macron. Au micro de Sonia Mabrouk, il a assumé : « Vous ne pouvez pas être idiot à répétition. » Selon le principal intéressé, le président de la République répondrait « à des intérêts étrangers » et ne défendrait pas « l’intérêt national ».
Nicolas Dupont-Aignan a également fulminé contre le bouclier énergétique tarifaire sur l’électricité. En effet, il a prôné un retour à un prix national de l’électricité. Aussi, l’ancien candidat aux élections présidentielles a pesté contre les opérateurs d’énergie privés. D’après lui, ils seraient « en perte » et ça serait « à l’État de payer ». Il a assuré : « Il faut mettre un grand coup de pied dans la fourmilière. Il faut les dissoudre. Ils sont en faillite et ne vivent que des crédits publics.«
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« Revenir à EDF telle qu’on l’a connue »
Le député a appelé à « revenir à EDF telle qu’on l’a connue, une entreprise unique, afin de retrouver notre souveraineté économique ». Il a poursuivi avec véhémence : « Ça veut dire beaucoup d’intérêts contrariés.« Et pour cause, Nicolas Dupont-Aignan a estimé que la France est « une oligarchie soumise à des intérêts étrangers qui pillent le pays« . À titre de preuves, l’ex-maire d’Yerres a évoqué « les entreprises allemandes qui vendent leurs éoliennes » ou encore « les entreprises chinoises qui vendent leurs panneaux solaires ».
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : CNEWS — Europe 1
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À cette époque, Emmanuel Macron est scolarisé chez les Jésuites de la Providences à Amiens. Il est un élève brillante au lycée. Pour preuve, il est lauréat du Concours général de français à 16 ans et décroche même le 3e Prix du piano du Conservatoire d’Amiens.
Pour terminer ses études, Emmanuel Macron a été envoyé au lycée Henri-IV, à Paris. Après avoir obtenu son baccalauréat scientifique, il intègre Sciences Po. Ses anciens professeurs ont souligné sont professionnalisme. Ils le décrivent comme « un étudiant exceptionnel à tous les égards. »
Entre 15 et 16 ans, Valérie Pécresse passe ses vacances dans un camp d’été des jeunesses communistes pour apprendre le russe. Cette expérience lui a permis d’être la seule russophone à l’ENA, et de faire un stage à l’ambassade de France à Moscou.
En 1991, Valérie Pécresse faisait grève dans les amphis de l’ENA. Alors âgée de 24 ans, elle ripostait contre le déménagement de l’école parisienne à Strasbourg. Une quarantaine d’étudiants, avec elle, ont squatté les amphithéâtres avec des matelas au sol pour y passer la nuit. À cette époque, Valérie Pécresse est jeune et rebelle.
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