VIDEO Michel Cymes « ne voit pas venir la deuxième vague » de Covid-19 en France

Invité à donner son opinion sur la possibilité d’une seconde vague du coronavirus, Michel Cymes s’est montré très rassurant. Ce lundi 11 mai dans C à vous, le médecin a expliqué pourquoi, selon lui, il n’y avait pas nécessairement lieu d’en craindre une.

Michel Cymes était de retour sur le plateau de C à vous ce lundi 11 mai. Le médecin, qui y était passé plusieurs fois durant le confinement, est revenu s’y exprimer. L’occasion pour lui de revenir sur quelques polémiques et de répondre aux questions d’Anne-Elisabeth Lemoine. L’animatrice lui a notamment demandé son avis sur « la crainte d’une seconde vague », ressentie par beaucoup de Français. « En Corée du sud et en Allemagne, par exemple, on s’interroge sur des reconfinements partiels, locaux », a-t-elle précisé. Prudent, le médecin a d’abord été évasif : « Ecoutez, je n’en sais rien. Je fais gaffe à ce que je dis, parce qu’il y a quelques mois, on n’était pas forcément dans le juste… » Si Michel Cymes prend désormais ses précautions, c’est parce qu’il a en effet été très critiqué ces dernières semaines. « On m’a reproché 25 000 fois de minimiser, a-t-il rappelé dans C à vous. Je n’ai jamais prononcé le mot “grippette”, à part pour dire que ce n’en était pas une. » Mais certaines de ses déclarations avaient été lourdement critiquées.

Michel Cymes ne croit pas en la deuxième vague du coronavirus

Le 3 mars dernier, dans Le Parisien, Michel Cymes avait commenté le début de la crise. « On connaît de plus en plus ce virus malgré des zones d’ombres, avait-il assuré. Il ne donne dans l’énorme majorité des cas rien de plus qu’un syndrome grippal. » La suite ne lui a pas donné raison, ce qui a lui a valu de violentes attaques sur les réseaux sociaux. C’est donc en prenant des pincettes que Michel Cymes a répondu à la question d’Anne-Elisabeth Lemoine ce lundi 11 mai dans C à vous : « Moi, je ne vois pas venir la deuxième vague, vu justement les autres pays. » Il est selon lui possible de l’éviter, notamment grâce à l’augmentation massive du nombre de tests promise par le gouvernement. « Je pense que si on peut compter sur les tests – si on a vraiment 700 000 tests par semaine, ce qui n’est pas le cas pour l’instant – et qu’on peut vraiment diagnostiquer les gens qui sont porteurs du virus, notamment des symptômes, puis faire les sujets contact, je pense qu’on pourra continuer », a-t-il assuré. Mais il faudra aussi que les Français fassent attention, notamment aux gestes barrière et au port du masque : « On n’est pas des enfants, a-t-il rappelé. Il faut que chacun se sente responsable de lui et surtout des autres. »

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