Dans TPMP, lundi 4 décembre, Marion Maréchal a fait des confidences sur cette inquiétude qui ne la quitte pas concernant la sécurité de ses filles, alors que les attaques (notamment de personnes fichées S) en France se multiplient.
Lundi 4 décembre, Marion Maréchal était invitée sur le plateau de Touche pas à mon poste, diffusé sur C8. L’occasion pour la vice-présidente exécutive de Reconquête de se confier sur sa crainte vis-à-vis de la sécurité de ses enfants en France. Bouleversée par la mort de Thomas, adolescent de 16 ans sauvagement tué à Crépol, la nièce de Marine Le Pen a expliqué avoir peur pour ses filles, Olympe et Clotilde, alors que des drames s’accumulent, à l’instar de l’attaque mortelle au couteau qui a eu lieu à Paris le 2 décembre.
« Ma motivation [pour faire de la politique et tenter de faire enfermer d’urgence les islamistes fichés S, NDLR], c’est simplement que j’ai deux petites filles et que je n’ai pas envie qu’elles grandissent dans un pays où elles peuvent se prendre un coup de couteau sous la tour Eiffel parce qu’elles se baladent dans la rue », a-t-elle lâché. Et de préciser ne pas vouloir non plus imaginer ses enfants agressées « parce qu’elles vont à un bal populaire » ou qu’en « sortant à 2 heures du matin elles se fassent massacrer par des racailles qui arrivent avec des couteaux de 25 cm ». Marion Maréchal a assuré se « lev[er] le matin pour ça », à savoir tenter de combattre l’insécurité à son échelle. « Si je me bats politiquement, c’est justement pour essayer d’éviter ça », a-t-elle lancé.
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Une maman notamment anxieuse pour l’avenir de sa fille aînée
Questionnée par Cyril Hanouna sur ses réactions aux faits divers sur les réseaux sociaux, l’épouse de Vincenzo Sofo a assuré que sa « parole publique est celle d’une responsable politique », tout en expliquant que son « moteur au quotidien » est d’élever ses enfants dans de bonnes conditions. « Je vous le dis, en tant que maman, je ne me sens pas sereine aujourd’hui. Quand je me lève le matin, je me dis que j’ai une fille de 9 ans, et quand elle aura 12 ou 13 ans, je ne sais pas comment je peux la laisser aller dans le métro, se balader dans la rue, aller de nuit faire la fête », a développé Marion Maréchal, qui considère que le pays est en plein « effondrement ».
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Capture écran C8
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PHOTOS – Marion Maréchal : qui sont les hommes qui ont marqué sa vie ?
Lors de sa naissance en 1989, Marion Maréchal n’est pas reconnue par son père biologique, Roger Auque.
Roger Auque a eu une courte relation avec sa mère, Yann Le Pen, en 1989. C’est en 2013 que le magazine L’Express dévoilel’information. Le reporter est décédé en 2014 d’une tumeur au cerveau.
C’est le beau-père de Marion, Samuel Maréchal, qui fit office de père, après son mariage avec Yann Le Pen, en 1993.
Il a décidé de reconnaître Marion en tant que fille et a décidé de lui donner son nom de famille.
Même après avoir divorcé avec Yann Le Pen en 2005, Samuel Maréchal est resté proche de Marion.
Marion Maréchal est la petite-fille d’un pasteur pentecôtiste du côté de son père.
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