VIDÉO – « Je m’en bats l’oeil » : Roselyne Bachelot cash sur la situation d’Élisabeth Borne

Invitée sur le plateau de Quelle Époque ! sur France 2, ce samedi 10 juin, Roselyne Bachelot n’a pas mâché ses mots à l’égard de la situation pourtant tendue dans laquelle se trouve la Première ministre Élisabeth Borne.

« Il y a une seule chose que je regrette : c’est que cette loi ne va pas assez loin. » Invitée sur le plateau de Quelle Époque ! sur France 2, ce samedi 10 juin, Roselyne Bachelot ne s’est pas fait prier pour donner son avis sur la très controversée réforme des retraites. « Étant donné les éléments de contexte économique et démographique […] Cette réforme des retraites est une réforme a minima. Le gouvernement a beaucoup reculé par rapport à ce qui était nécessaire pour équilibrer ce pacte social », a-t-elle ainsi argué. Et de résumer : « Je considère finalement que c’est un semi-échec pour le gouvernement. »

« Quand on voit ce qui s’est passé, bon courage aux gouvernements qui suivront« , a également ajouté l’ancienne ministre de la Santé mais aussi plus récemment de la Culture. « Qu’est-ce qui va se passer ? Il doit remanier ? Elle va partir Élisabeth Borne ?« , l’a aussitôt questionnée Léa Salamé en écho aux tensions actuelles entre le Président de la république et sa Première ministre. « Oh moi, les histoires de politique politicienne…« , a alors soufflé Roselyne Bachelot en cherchant ses mots. « Ça ne vous intéresse plus ? », lui a suggéré son hôte, constatant qu’elle hésitait effectivement à finir sa phrase. « Non, franchement, je m’en bats l’œil », s’est finalement exclamée la sociétaire des Grosses Têtes, suscitant une vague de rires sur le plateau.

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L’attention toute particulière de Roselyne Bachelot envers Léa Salamé

« J’ai eu peur », a avoué la présentatrice de Quelle Époque ! en faisant implicitement référence à une autre expression qui commence effectivement comme celle employée par Roselyne Bachelot mais qui se termine par une autre partie du corps humain. « Je suis restée au-dessus de la ceinture, pour une fois », s’est amusée la principale intéressée. Et de renchérir : « C’est pour vous, Léa, uniquement. » Le language de la septuagénaire est effectivement parfois des plus fleuris. « D’habitude, ce sont les cocus qui sont au balcon, là on a deux glands. En fait, on ne peut pas dire des cocus au balcon parce que ce sont eux qui ont fait cocus leurs conjoints… », avait-elle notamment déclaré sur le plateau de BFMTV en mai dernier en marge du couronnement du roi Charles III et de la reine Camilla.

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : Capture d’écran France 2

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PHOTOS – Olivier Véran, Roselyne Bachelot… Ces politiques qui ont osé révéler leur salaire

Il avait promis de ne « rien cacher » dans son livre. Auteur de Par-delà les vagues (ed. Robert Laffont), un journal de bord sur la crise sanitaire sorti en septembre 2022, Olivier Véran rend public son salaire de ministre.

« Comme tout ministre, je paye mes factures, un loyer au ministère, et je gagne 6500 euros nets par mois après impôt », écrit-il.

Parler cash, Roselyne Bachelot sait faire. Elle le prouve encore en 2013 lorsque, tout juste arrivée sur D8 pour l’émission « Le Grand huit », elle révèle gagner 250 000 euros par an « tout compris« . A l’époque, l’ex-ministre fait également une apparition hebdomadaire sur i-Télé. « Je mène une vie très simple et je vis depuis toujours très en dessous de mes revenus« , confie-t-elle au quotidien suisse Le Matin.

Nommée ministre la Culture en 2020, elle assure avoir perdu « la moitié de ses revenus » en rejoignant le gouvernement.

En déplacement dans une école de Marseille, lors de la rentrée 2021, Emmanuel Macron est prié par un élève de donner… son salaire mensuel. Du tac au tac, le mari de Brigitte répond.

« Je suis payé avant le prélèvement à la source, environ 13 500 euros« , soit « 8 500 euros » nets, reconnaît le chef de l’Etat. Tout en précisant au jeune élève que le montant est rendu public.

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