De 1974 à 1981, Valéry Giscard d’Estaing a été au sommet de l’État, en siégeant à l’Élysée. S’il a dû encaisser les coups, ses proches ont également été critiqués. C’est ce que racontait Christine Clerc dans son livre « Tigres et Tigresses : Histoire intime des couples présidentiels sous la Ve République », paru en 2006.
« J’avais prévu ces attaques. » Cette phrase prononcée par Valéry Giscard d’Estaing à son ancien porte-parole Michel Bassi laissait entendre que l’homme politique, mort le 2 décembre des suites du Covid-19, se préparait au pire en accédant au sommet de l’État. Si l’ancien chef d’État a fait l’objet de nombreuses rumeurs et essuyé bien souvent les critiques, ses proches n’ont, eux non plus, pas été épargnés. Dans son livre Tigres et Tigresses : Histoire intime des couples présidentiels sous la Ve République, paru aux éditions Fayard en 2006, Christine Clerc revenait sur plusieurs anecdotes, quelque peu déplaisantes, pour la famille Giscard d’Estaing.
Si les aînés Henri et Valérie-Anne ont un temps « réussi à se faire oublier » en traçant leur route loin de leur père – l’un au service militaire, l’autre en intégrant une maison d’édition – les plus jeunes n’ont pas eu d’autres choix que de vivre une partie de leur vie avec le protocole et les convenances. À l’époque, chacun de leurs faits et gestes étaient scrutés et commentés… Lors d’un voyage en Inde raconté par Christine Clerc dans son livre, le jeune Louis Giscard d’Estaing avait par exemple été placé à côté de l’épouse du président « comme un jeune prince ». À l’époque, la presse française avait alors parlé de « monarchie héréditaire », comme l’a rappelé l’auteure.
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