Le 10 janvier 2014, la vie de François Hollande et Valérie Trierweiler a basculé lorsque la presse people a dévoilé la liaison du locataire de l’Elysée avec la comédienne et productrice Julie Gayet. Une révélation et une onde de choc pour celle qui était sa compagne officielle… Récit.
Ce mardi 10 janvier est une date symbolique pour ce que les médias ont baptisé « le Gayetgate. » C’est ce jour-là, en 2014, que Closer dévoilait la relation entre François Hollande et Julie Gayet. La nouvelle avait fait l’effet d’une bombe et Valérie Trierweiler avait été hospitalisée le lendemain, à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, à Paris. Son entourage a assuré qu’elle avait besoin de « prendre du repos et subir quelques examens ». Et de préciser que sa tension nerveuse était l’une des raisons de sa « fatigue extrême ».
Entre autres détails sur l’état de santé de la journaliste, on apprend qu’elle avait pris des cachets et fait un malaise. Nos confrères du Point précisaient alors que Valérie Trierweiler n’avait pas « voulu se suicider », mais qu’elle « voulait juste dormir » afin d’échapper à la réalité, après une violente dispute avec son compagnon. C’est en se réveillant avec des nausées qu’elle est conduite au sein de l’hôpital parisien et qu’on lui a administré une « dose astronomique de tranquillisants ». L’ancien président de la République n’a pour sa part pas pu lui rendre visite pendant cinq jours, à la demande des médecins.
Au final, elle restera huit jours sur place afin de se reposer, et reprendre ses esprits. En sortant de l’hôpital, la première dame, bafouée, ira prendre du recul à la résidence officielle du chef de l’Etat, La Lanterne, pour « rester au calme » et à l’abri des médias, mêmes si des photos de son refuge seront publiées… C’est par un simple communiqué, sec et bref que François Hollande actera leur rupture. « Je fais savoir que j’ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler », quelques mots envoyés à l’AFP le 25 septembre. Une déclaration unilatérale qui mettra fin à leur couple.
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Un livre phénomène qui secoue le quinquennat
Le 4 septembre 2014, la sortie du livre brûlot Merci pour ce moment sera une nouvelle déflagration dans le quinquennat de François Hollande. Cet ouvrage, écrit en six mois dans le plus grand secret, se classera en tête des ventes de l’année 2014 avec 600.000 exemplaires vendus à la fin de l’année. Le témoignage de Valérie Trierweiler restera comme une nouvelle étape dans la peopolisation de la vie politique, et posera, après les péripéties du couple Nicolas Sarkozy/Cécilia, la question de la frontière entre vie publique et vie personnelle.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : GENGIS BORDENAVE / BESTIMAGE
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Ségolène Royal et François Hollande ont formé un couple emblématique de la politique française pendant près de 30 ans. De leur histoire, qui a commencé sur les bancs de l’ENA, sont nés leurs quatre enfants Thomas (1984), Clémence (1986), Julien (1987) et Flora (1992). Jamais marié, ils annoncent leur rupture en 2007 sans en dévoiler les causes.
Dans le livre intitulé Ségolène Royal :Les coulisses d’une défaite, écrit par deux journalistes de l’AFP et paru en juin 2007, la mère de famille raconte : « J’ai demandé à François Hollande de quitter le domicile, de vivre son histoire sentimentale de son côté, désormais étalée dans les livres et dans les journaux, et je lui ai souhaité d’être heureux. On est en bons termes, on se parle, il y a du respect mutuel ».
Fille cadette de Ségolène Royal et de François Hollande, Flora Hollande a caressé l’idée de suivre la voie de ses parents en politique. Lors de la primaire de la gauche en 2012, elle apporte son soutien à sa mère plutôt qu’à son père. Un choix qu’elle a expliqué à Gala : Je n’avais pas cours en septembre. J’ai donc été la plus impliquée de la fratrie dans la campagne des primaires de ma mère. Je l’accompagnais dans ses déplacements, sur les plateaux télé ».
Avant d’ajouter : « Ayant suivi de près la campagne de ma mère, moi aussi, j’ai pleuré au soir du premier tour des primaires. Et puis je lui ai dit : « Il y aura 2017 ! » Je sais que c’est une battante, après une difficulté, elle sait ressurgir et, en tant que femme, je veux prendre exemple sur elle »
Ma mère a toujours été disponible en dépit de son emploi du temps. Je la questionne souvent sur sa jeunesse, sa vocation, les sources de son engagement politique. Avec mon père, on parle un peu moins de la vie ». Le soir de l’investiture de François Hollande après sa victoire, elle était la grande absente : « Je veux juste continuer à vivre ma vie tranquillement. Ne comptez pas sur moi pour poser le tapis rouge ! »
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